Ces affrontements ont fait plus d’une vingtaine de blessés du côté des étudiants qui, pendant deux tours d'horloge, ont livré une rude bataille contre les gendarmes. Pour Mamadou Ndiaye, président de séance de la Cels, rien n’est fait pour améliorer les conditions de vie des étudiants, qui ne savent plus à quelle autorité se fier. L’orientation de nouveaux bacheliers (ndlr : 4 000 au total) est à l’origine du courroux des étudiants.
« Nous sommes descendus sur la route nationale pour déverser notre mécontentement. Depuis le mois d’octobre, la Cesl est en train d’alerter l’opinion publique et celle internationale, sur les conditions précaires que nous sommes en train de vivre. Pourtant, nous avons eu une rencontre avec le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, mais elle n’a rien donné malheureusement. Nous étions partis avec des propositions, qui n’ont pas été étudiées par la tutelle », a signalé Mamadou Ndiaye.
Pour lui, leurs propositions « pouvaient apporter des solutions palliatives aux problèmes que les étudiants sont en train de vivre actuellement, au niveau de l’Ugb ».
« Nous sommes descendus sur la route nationale pour déverser notre mécontentement. Depuis le mois d’octobre, la Cesl est en train d’alerter l’opinion publique et celle internationale, sur les conditions précaires que nous sommes en train de vivre. Pourtant, nous avons eu une rencontre avec le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, mais elle n’a rien donné malheureusement. Nous étions partis avec des propositions, qui n’ont pas été étudiées par la tutelle », a signalé Mamadou Ndiaye.
Pour lui, leurs propositions « pouvaient apporter des solutions palliatives aux problèmes que les étudiants sont en train de vivre actuellement, au niveau de l’Ugb ».