Le suspect, un caporal-chef des forces armées centrafricaines, a été mis aux arrêts à la Section des Recherches et d’investigation de la gendarmerie quelques heures après le décès de la victime ce dimanche.
D’après quelques témoins de la scène interrogés par CNC, c’est aux environs de 18 heures, ce samedi 11 janvier, que le suspect aurait commencé à frapper son épouse en présence de leurs enfants. Malgré l’intervention des voisins, l’homme continue d’agresser sa conjointe qui a pu s’extraire de lui, avant de quitter le domicile conjugal vers 19 heures.
Cependant, aux environs de 21 heures, la victime s’est rendue à la Section de Recherches et d’investigation de la gendarmerie pour se plaindre de son conjoint violent, mais les enquêteurs ont constaté qu’elle perd beaucoup de sang au nez.
Conduite immédiatement aux urgences de l’hôpital, elle a finalement succombé de ses blessures ce dimanche 12 janvier.
Le suspect, le conjoint de la victime, a été mis aux arrêts immédiatement après la mort de sa femme avec qui il vivait depuis 17 ans.
Pour de nombreux Banguissois, il faut une forte mobilisation contre les violences conjugales, qui ne cessent de faire des victimes innocentes dans le pays.
« Il faut que ça cesse », s’alarme Catherine, une voisine de la victime.
D’après quelques témoins de la scène interrogés par CNC, c’est aux environs de 18 heures, ce samedi 11 janvier, que le suspect aurait commencé à frapper son épouse en présence de leurs enfants. Malgré l’intervention des voisins, l’homme continue d’agresser sa conjointe qui a pu s’extraire de lui, avant de quitter le domicile conjugal vers 19 heures.
Cependant, aux environs de 21 heures, la victime s’est rendue à la Section de Recherches et d’investigation de la gendarmerie pour se plaindre de son conjoint violent, mais les enquêteurs ont constaté qu’elle perd beaucoup de sang au nez.
Conduite immédiatement aux urgences de l’hôpital, elle a finalement succombé de ses blessures ce dimanche 12 janvier.
Le suspect, le conjoint de la victime, a été mis aux arrêts immédiatement après la mort de sa femme avec qui il vivait depuis 17 ans.
Pour de nombreux Banguissois, il faut une forte mobilisation contre les violences conjugales, qui ne cessent de faire des victimes innocentes dans le pays.
« Il faut que ça cesse », s’alarme Catherine, une voisine de la victime.
Il faut noter que la victime laisse derrière elle quatre enfants qu’elle a eu avec son conjoint depuis une dizaine d’année.
Source: Corbeau News Centrafrique
Source: Corbeau News Centrafrique