Voulant se marier avec son copain, la demoiselle A. Ndiaye a sollicité un charlatan du nom de B. Diouf pour arriver à ses fins. Mais, elle a été violée et engrossé par ce dernier. Devant la barre du tribunal de Dakar, elle a raconté sa mésaventure. « Je lui ai expliqué que j’aimais mon copain et que je voulais qu’il nous formule des prières pour que nous nous mariions », a-t-elle indiqué. A l’en croire, le charlatan lui a donné des « safaras » (eau bénite) pour des bains mais aussi des potions magiques à boire. Ce qu’elle a fait en respectant à la lettre les recommandations du charlatan. Malheureusement, son copain a épousé une autre femme. C’est ainsi que la demoiselle est allée, de nouveau, voir le charlatan pour qu’il l’aide à trouver un autre mari. « Mais B. Diouf m’a indiqué que les prières ne sauraient être exaucées tant que couche pas avec lui. Ainsi, il m’a prescrit d’autres bains et, par la suite, on a entretenu des relations sexuelles. C’est comme si j’ai été envoûtée », a déclaré la victime qui a révélé avoir enregistré toutes ses discussions avec son bourreau.
Mais, les allégations de la fille ont été battues en brèche par le prévenu : « Je l’ai draguée et elle est devenue ma copine. On a entretenu plusieurs rapports sexuels avant qu’elle ne tombe enceinte mais je ne l’ai pas envoûté. Elle était toujours consentante. Je reconnais être l’auteur de la grossesse qu’elle porte. C’est la raison pour laquelle je n’ai pas hésité à payer les frais d’hôpitaux lorsque j’ai appris qu’elle était enceinte. J’avoue devant les juges et le procureur que j’aime cette femme. Je la veux vraiment », a avoué le sieur Diouf. Le procès a été renvoyé jusqu’à jeudi prochain pour la production de l’élément sonore portant la discussion entre les deux parties.
Mais, les allégations de la fille ont été battues en brèche par le prévenu : « Je l’ai draguée et elle est devenue ma copine. On a entretenu plusieurs rapports sexuels avant qu’elle ne tombe enceinte mais je ne l’ai pas envoûté. Elle était toujours consentante. Je reconnais être l’auteur de la grossesse qu’elle porte. C’est la raison pour laquelle je n’ai pas hésité à payer les frais d’hôpitaux lorsque j’ai appris qu’elle était enceinte. J’avoue devant les juges et le procureur que j’aime cette femme. Je la veux vraiment », a avoué le sieur Diouf. Le procès a été renvoyé jusqu’à jeudi prochain pour la production de l’élément sonore portant la discussion entre les deux parties.