B. Niang, l’hygiéniste de la Croix-Rouge accusé d’avoir violé une patiente du coronavirus dans sa chambre d’hospitalisation à l’hôtel Novotel, livre sa version des faits.
D’après L'Observateur, il a nié les accusations de la fille violée de 20 ans, soutenant qu’il est rentré dans la chambre pour tenter de consoler la patiente désarçonnée face à la maladie à coronavirus.
B. Niang confie aux enquêteurs qu’il s’est introduit dans la chambre en enfilant son uniforme constitué d’une blouse blanche, de gants de protection, d’une visière, d’un bonnet et d’une combinaison de protection.
Invité à présenter cet uniforme qu’il dit avoir rangé dans son casier de service, B. N sera incapable de le faire.