"C'est son ami F. Niang qui me conduisait de force dans sa chambre. Il me menaçait avec un couteau ou une paire de ciseaux. Sur place, B. Sow m'intimait l'ordre de me déshabiller avant d'abuser de moi", accuse l'adolescente de 17 ans qui tenait son bébé dans ses bras lors de sa comparution, hier, devant le tribunal d'Instance de Dakar. Des propos confortés par sa mère, G. Faye, laquelle a saisi les enquêteurs de la Sûreté Urbaine d'une plainte.
"Elle livrait mes repas à ma clientèle. C'est à six mois de grossesse que j'ai su qu'elle était enceinte. J'entendais les rumeurs dans le marché. J'ai pris en charge tous ses frais médicaux. Le prévenu me contactait pour m'abreuver d'injures ainsi que d'autres membres de sa famille. Il m'a aussi posé un lapin le jour où, on avait décidé de déclarer l'enfant", a déploré la restauratrice.
D'après ses dires, elle n'était pas au courant d'une quelconque liaison entre sa fille et le mis en cause. "Elle mettait du temps quand elle se rendait dans son atelier. Mais, je n'avais rien suspecté", souligne-t-elle. À son tour, le tailleur renseigne qu'il était en couple avec la mère de son fils depuis 2014.
"Elle m'avait dit qu'elle est née en 2000. Quand j'ai demandé sa main, sa mère a refusé, disant qu'il va la donner en mariage à un homme d'ethnie Sérère. Malgré cela, on continuait à se voir et à entretenir des rapports sexuels dans ma chambre", a confessé le resident des Parcelles Assainies.
Il ajoute qu'il a assisté sa "copine" durant toute sa grossesse.
"Je l'accompagnais à l'hôpital pour ses visites prénatales. Après son accouchement le 15 septembre dernier, sa mère m'a réclamé 70.000 francs pour couvrir ses frais médicaux. La veille de la précédente fête de Tabaski, je lui ai envoyé 50.000 francs", informe-t-il.
"Elle livrait mes repas à ma clientèle. C'est à six mois de grossesse que j'ai su qu'elle était enceinte. J'entendais les rumeurs dans le marché. J'ai pris en charge tous ses frais médicaux. Le prévenu me contactait pour m'abreuver d'injures ainsi que d'autres membres de sa famille. Il m'a aussi posé un lapin le jour où, on avait décidé de déclarer l'enfant", a déploré la restauratrice.
D'après ses dires, elle n'était pas au courant d'une quelconque liaison entre sa fille et le mis en cause. "Elle mettait du temps quand elle se rendait dans son atelier. Mais, je n'avais rien suspecté", souligne-t-elle. À son tour, le tailleur renseigne qu'il était en couple avec la mère de son fils depuis 2014.
"Elle m'avait dit qu'elle est née en 2000. Quand j'ai demandé sa main, sa mère a refusé, disant qu'il va la donner en mariage à un homme d'ethnie Sérère. Malgré cela, on continuait à se voir et à entretenir des rapports sexuels dans ma chambre", a confessé le resident des Parcelles Assainies.
Il ajoute qu'il a assisté sa "copine" durant toute sa grossesse.
"Je l'accompagnais à l'hôpital pour ses visites prénatales. Après son accouchement le 15 septembre dernier, sa mère m'a réclamé 70.000 francs pour couvrir ses frais médicaux. La veille de la précédente fête de Tabaski, je lui ai envoyé 50.000 francs", informe-t-il.