Les victimes du Net et des réseaux sociaux ont réagi aujourd’hui, pour réclamer une identification formelle des utilisateurs de l’Internet. Ainsi, le président de l’association des victimes du Net et des réseaux sociaux, Amadou Moustapha Gaye, appelant à une politique d’identification beaucoup plus formelle, considère que ce qui se passe dans les réseaux sociaux est très grave.
« N’importe qui peut entrer dans n’importe quel site sans être identifié. Il peut raconter ce qu’il veut ou insulter qui, il veut. Nous considérons que ce n’est pas normal. Est que Facebook ne peut pas aller vers une façon formelle d’identifier ses abonnés. Comme cela, est fait au Sénégal avec le téléphone », a plaidé Amadou Moustapha Gaye sur les ondes de Sud FM.
Et, il reste d’avis qu’il y a quelque part une volonté de ne pas régler ce problème. « Nous avons beaucoup de plaintes au niveau de notre association. Il s’agit de gens qui ont été diffamés de façon très considérée dans Facebook et dans d’autres sites. Nous avons reçu 300 plaintes au niveau du Sénégal. Au niveau de notre documentation, on a recueilli plus de 10 000 éléments des sites d’informations, Facebook et autres. Et, ces éléments peuvent faire falloir à Facebook et autres, des plaintes au niveau des juridictions », a-t-il, regretté.
D’après lui, tous les utilisateurs qui vont dans ces sites devraient pouvoir être identifiés. Il a trouvé que c’est le même problème qu’ils ont eu avec certains sites d’informations. Certains responsables de médias, insiste-t-il, doivent être conscientisés.
« N’importe qui peut entrer dans n’importe quel site sans être identifié. Il peut raconter ce qu’il veut ou insulter qui, il veut. Nous considérons que ce n’est pas normal. Est que Facebook ne peut pas aller vers une façon formelle d’identifier ses abonnés. Comme cela, est fait au Sénégal avec le téléphone », a plaidé Amadou Moustapha Gaye sur les ondes de Sud FM.
Et, il reste d’avis qu’il y a quelque part une volonté de ne pas régler ce problème. « Nous avons beaucoup de plaintes au niveau de notre association. Il s’agit de gens qui ont été diffamés de façon très considérée dans Facebook et dans d’autres sites. Nous avons reçu 300 plaintes au niveau du Sénégal. Au niveau de notre documentation, on a recueilli plus de 10 000 éléments des sites d’informations, Facebook et autres. Et, ces éléments peuvent faire falloir à Facebook et autres, des plaintes au niveau des juridictions », a-t-il, regretté.
D’après lui, tous les utilisateurs qui vont dans ces sites devraient pouvoir être identifiés. Il a trouvé que c’est le même problème qu’ils ont eu avec certains sites d’informations. Certains responsables de médias, insiste-t-il, doivent être conscientisés.