Serigne Makhtar Ndiaye, communément appelé Mandiaye, un des citoyens du quartier Thierno Kandji de Diourbel, victime des inondations et dont la maison, comme beaucoup d’autres dans la zone, est encore sous l’emprise des eaux, tenait à parler des inondations à Diourbel, particulièrement au quartier Thierno Kandi, où, a-t-il soutenu, ils n’ont senti aucune action de l’État, malgré les efforts consentis par le président de la République. Ils n’ont pas senti la présence de l’État, les autorités administratives aussi bien que politiques, à leurs côtés, a-t-il fait noter.
Parce que, informe-t-il, depuis 2012 jusqu’à maintenant, ils ne cessent de vivre ces inondations d’une manière récurrente. Toutes les maisons qui sont dans ce quartier, a-t-il précisé, ce sont des maisons qui sont abandonnées, parce que les gens n’ont plus de solutions.
Il y a aussi la vallée du Sine qui est derrière eux, qui se trouve être un réservoir où on pourrait évacuer toutes les eaux, a-t-il expliqué. Mais, ils ne sont pas assistés, clame-t-il. Et les gens qui sont censés les secourir, renseigne-t-il, croient que les inondations, c’est dans la rue. Non, ce sont les maisons qui sont impactées, martèle-til.
Et il y a des maisons qui sont en menace de s’écrouler, met-il en garde. Et prévient qu’on ne va pas dire demain que l’État ou les autorités n’ont pas été avisés. Plusieurs fois, ils ont été avisés, a-t-il déclaré.D’ailleurs, même le ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome, a-t-il rappelé, à son passage à Diourbel pour les inondations, est venu jusqu’à leur niveau, mais, malheureusement, a-t-il regretté, le temps qui lui était imparti ne lui permettait pas de constater de visu l’envahissement des maisons par les eaux. ,
Ce grand cœur, Serigne Makhtar Ndiaye, regrette que le plus souvent, quand on parle d’inondations, on pense que c’est un opposant qui parle. Il n’est pas un opposant, rassure-t-il.
Mais c’est un citoyen qui lance un cri du cœur.
«Nous sommes désœuvrés, nous sommes abandonnés, on ne nous a pas assisté une seule fois, et Diourbel est-là . Nous pataugeons. Les eaux de ruissellement sont mélangées aux eaux des fosses septiques. Et ceci, tout le monde sait que ce n’est pas hygiénique.»
« Les gens n’ont pas où habiter, mais c’est un grand risque de voir des bâtiments s’écrouler, alerte-t-il. Et par les temps qui courent, tout le monde sait qu’avec les difficultés de la vie, il est extrêmement difficile de reprendre des constructions ou de déménager.»En ce sens, il lance un cri du cœur pour qu’on puisse dire exactement, objectivement et fidèlement au président de la République ou aux autorités en charge des inondations, ce qu’il se passe réellement concernant ces inondations à Diourbel, pour qu’ils puissent voir, pour qu’ils ne se limitent pas seulement à des simples rapports. Qu’ils viennent voir, entrer dans les maisons, s’il le faut, survoler Diourbel par hélicoptère, pour constater réellement les dégâts.
«Le président de la République, avec tous les efforts qu’il fait,s’il se base sur ce que les gens lui racontent seulement, il va se tromper lourdement et les populations ne vont pas le lui pardonner, parque c’est lui qui a été élu pour qu’il nous vienne en aide, en retour. C’est triste pour le quartier Thierno Kandji et pour Diourbel», a-t-il conclu.
Parce que, informe-t-il, depuis 2012 jusqu’à maintenant, ils ne cessent de vivre ces inondations d’une manière récurrente. Toutes les maisons qui sont dans ce quartier, a-t-il précisé, ce sont des maisons qui sont abandonnées, parce que les gens n’ont plus de solutions.
Il y a aussi la vallée du Sine qui est derrière eux, qui se trouve être un réservoir où on pourrait évacuer toutes les eaux, a-t-il expliqué. Mais, ils ne sont pas assistés, clame-t-il. Et les gens qui sont censés les secourir, renseigne-t-il, croient que les inondations, c’est dans la rue. Non, ce sont les maisons qui sont impactées, martèle-til.
Et il y a des maisons qui sont en menace de s’écrouler, met-il en garde. Et prévient qu’on ne va pas dire demain que l’État ou les autorités n’ont pas été avisés. Plusieurs fois, ils ont été avisés, a-t-il déclaré.D’ailleurs, même le ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome, a-t-il rappelé, à son passage à Diourbel pour les inondations, est venu jusqu’à leur niveau, mais, malheureusement, a-t-il regretté, le temps qui lui était imparti ne lui permettait pas de constater de visu l’envahissement des maisons par les eaux. ,
Ce grand cœur, Serigne Makhtar Ndiaye, regrette que le plus souvent, quand on parle d’inondations, on pense que c’est un opposant qui parle. Il n’est pas un opposant, rassure-t-il.
Mais c’est un citoyen qui lance un cri du cœur.
«Nous sommes désœuvrés, nous sommes abandonnés, on ne nous a pas assisté une seule fois, et Diourbel est-là . Nous pataugeons. Les eaux de ruissellement sont mélangées aux eaux des fosses septiques. Et ceci, tout le monde sait que ce n’est pas hygiénique.»
« Les gens n’ont pas où habiter, mais c’est un grand risque de voir des bâtiments s’écrouler, alerte-t-il. Et par les temps qui courent, tout le monde sait qu’avec les difficultés de la vie, il est extrêmement difficile de reprendre des constructions ou de déménager.»En ce sens, il lance un cri du cœur pour qu’on puisse dire exactement, objectivement et fidèlement au président de la République ou aux autorités en charge des inondations, ce qu’il se passe réellement concernant ces inondations à Diourbel, pour qu’ils puissent voir, pour qu’ils ne se limitent pas seulement à des simples rapports. Qu’ils viennent voir, entrer dans les maisons, s’il le faut, survoler Diourbel par hélicoptère, pour constater réellement les dégâts.
«Le président de la République, avec tous les efforts qu’il fait,s’il se base sur ce que les gens lui racontent seulement, il va se tromper lourdement et les populations ne vont pas le lui pardonner, parque c’est lui qui a été élu pour qu’il nous vienne en aide, en retour. C’est triste pour le quartier Thierno Kandji et pour Diourbel», a-t-il conclu.