L’affaire de la Socabeg est en passe de devenir le plus grand scandale foncier, sous le régime finissant du Président Macky Sall. Une grosse arnaque foncière, où des milliers de pères et mères de familles ainsi que des soldats retraités ou invalides, ont été floués voire grugés par des promoteurs véreux de la Socabeg. Des promoteurs escrocs bénéficiant d’une impunité totale, avec des complicités à des niveaux insoupçonnés. Face à cette situation, « Le Témoin » quotidien a appris qu’un avocat aurait dissuadé son client, qui avait menacé d’aller s’immoler par le feu dans les locaux de la société immobilière située sur la corniche Ouest, face à Magic Land, à Dakar.
L’avocat se dit convaincu que compte tenu de l’état dépressif de son client, les membres du personnel de la Socabeg ne sortiraient pas indemnes si un tel acte venait à être commis dans leurs locaux. Juste pour vous donner une idée de la manière dont le président de la République et le procureur de la République, ont laissé pourrir la situation Socabeg depuis plus de dix ans, au détriment des milliers de plaignants, dont les uns sont décédés, les autres sont devenus dépressifs, tandis que la plus grande partie est ruinée. Pour la triste histoire, cette entreprise de promotion immobilière avait fait miroiter des lotissements (Socabeg/Amap/Snhlm) dans des zones de la banlieue dakaroise, situées dans le département de Keur Massar.
Sur la base des factures de versements et des contrats de réservation de parcelles à usage d’habitation effectués en 2015, dont « « Le Témoin » a obtenu copies, Socabeg avait juré que les terrains seraient disponibles et livrés au bout de quatre (4) ans aux ayants droit. Et nombreux sont ceux qui ont fini de verser ou de payer le prix de leurs terrains (2 millions, 3 millions, 4 millions FCfa, etc.). Dix ans après, toujours rien ! Car, depuis lors, les candidats courent derrière leurs parcelles et on leur fixe des délais à n’en plus finir ! Il faut dire que le propriétaire de Socabeg est mort il y a quelques années, laissant des contentieux inextricables à ses neveux.
Le Témoin
L’avocat se dit convaincu que compte tenu de l’état dépressif de son client, les membres du personnel de la Socabeg ne sortiraient pas indemnes si un tel acte venait à être commis dans leurs locaux. Juste pour vous donner une idée de la manière dont le président de la République et le procureur de la République, ont laissé pourrir la situation Socabeg depuis plus de dix ans, au détriment des milliers de plaignants, dont les uns sont décédés, les autres sont devenus dépressifs, tandis que la plus grande partie est ruinée. Pour la triste histoire, cette entreprise de promotion immobilière avait fait miroiter des lotissements (Socabeg/Amap/Snhlm) dans des zones de la banlieue dakaroise, situées dans le département de Keur Massar.
Sur la base des factures de versements et des contrats de réservation de parcelles à usage d’habitation effectués en 2015, dont « « Le Témoin » a obtenu copies, Socabeg avait juré que les terrains seraient disponibles et livrés au bout de quatre (4) ans aux ayants droit. Et nombreux sont ceux qui ont fini de verser ou de payer le prix de leurs terrains (2 millions, 3 millions, 4 millions FCfa, etc.). Dix ans après, toujours rien ! Car, depuis lors, les candidats courent derrière leurs parcelles et on leur fixe des délais à n’en plus finir ! Il faut dire que le propriétaire de Socabeg est mort il y a quelques années, laissant des contentieux inextricables à ses neveux.
Le Témoin