« Cela fait donc 15 jours que le Président Habré est dans sa cellule sans soins. Le professeur Seydina Issa Laye Sèye a posé son diagnostic : le Président Habré a une fracture du col de l’humérus (os du bras) et par conséquent, il doit être opéré », écrit, en effet, la cellule de communication de l’ex chef de l’Etat tchadien.
« L’administration Pénitentiaire a préféré politiser la question de la santé du Président Habré plutôt que de répondre à l’urgence et lui porter assistance. Une urgence qu’on veut cacher en parlant de manipulations », poursuit le communiqué, soulignant que les avocats de l'ancien Président ont été à nouveau refoulés vendredi dernier et que depuis l’accident, l’administration pénitentiaire les empêche de rencontrer le Président Habré.
« Dans la gestion de la santé du Président, l’administration pénitentiaire a montré qu’elle était sous influence politique car, qui peut croire que le maintien sans soins du Président avec son bras fracturé pendant 15 jours est la position de responsables dans l’exercice normale de leurs fonctions ? », conclut le communiqué.
« L’administration Pénitentiaire a préféré politiser la question de la santé du Président Habré plutôt que de répondre à l’urgence et lui porter assistance. Une urgence qu’on veut cacher en parlant de manipulations », poursuit le communiqué, soulignant que les avocats de l'ancien Président ont été à nouveau refoulés vendredi dernier et que depuis l’accident, l’administration pénitentiaire les empêche de rencontrer le Président Habré.
« Dans la gestion de la santé du Président, l’administration pénitentiaire a montré qu’elle était sous influence politique car, qui peut croire que le maintien sans soins du Président avec son bras fracturé pendant 15 jours est la position de responsables dans l’exercice normale de leurs fonctions ? », conclut le communiqué.