La déléguée générale à la Protection sociale et à la solidarité nationale (DGPSN), Aminata Sow, annonce que ses services vont engager « une recertification » des ménages bénéficiaires du programme bourses de sécurité familiale (BSF), en vue de les accompagner à assurer leur autonomie économique.
« Nous allons vers la recertification des ménages bénéficiaires de la bourse de sécurité familiale. Au départ, le programme était conçu pour y maintenir les ménages pendant cinq ans. Aujourd’hui, en moyenne, ils ont fait dix ans. Cependant, sur décision du chef de l’Etat, nous les avons maintenus, car il faut être sûr d’une amélioration de leurs conditions de vie à leur sortie du programme », a-t-elle expliqué.
Selon Aminata Sow, la « recertification » va consister à faire une évaluation de la situation économique des ménages bénéficiaires, pour déterminer ceux qui seront appelés à quitter le programme, en vue d’enrôler d’autres familles.
Elle a clarifié le sens des concepts utilisés pour caractériser la situation des ménages bénéficiaires, dont certains peuvent être considérés comme vivant « dans la pauvreté ou l’extrême pauvreté ». Un ménage confronté à une extrême pauvreté, est un ménage qui ne peut pas assurer les trois repas quotidiens, a précisé la déléguée générale à la Protection sociale et à la Solidarité nationale.
Ce qui correspond à des revenus de moins d’un dollar par jour, selon les critères en vigueur à l’international.
Aps
« Nous allons vers la recertification des ménages bénéficiaires de la bourse de sécurité familiale. Au départ, le programme était conçu pour y maintenir les ménages pendant cinq ans. Aujourd’hui, en moyenne, ils ont fait dix ans. Cependant, sur décision du chef de l’Etat, nous les avons maintenus, car il faut être sûr d’une amélioration de leurs conditions de vie à leur sortie du programme », a-t-elle expliqué.
Selon Aminata Sow, la « recertification » va consister à faire une évaluation de la situation économique des ménages bénéficiaires, pour déterminer ceux qui seront appelés à quitter le programme, en vue d’enrôler d’autres familles.
Elle a clarifié le sens des concepts utilisés pour caractériser la situation des ménages bénéficiaires, dont certains peuvent être considérés comme vivant « dans la pauvreté ou l’extrême pauvreté ». Un ménage confronté à une extrême pauvreté, est un ménage qui ne peut pas assurer les trois repas quotidiens, a précisé la déléguée générale à la Protection sociale et à la Solidarité nationale.
Ce qui correspond à des revenus de moins d’un dollar par jour, selon les critères en vigueur à l’international.
Aps