De 15 000 FCfa, le prix du sac d’aliment est passé à 17 000, voire 17 500 FCfa, à certains endroits. Principale poste de dépense de l’élevage de poulets, le prix de l’aliment représente près de 90 % du prix de revient.
« Le poussin ne coûte pas plus de 550 FCfa. Le principal souci, c’est l’aliment. Rien que pour une bande de 50 poussins, on a besoin d’au moins six sacs. Pour quelqu’un qui a 100 poussins, la hausse est de 24 000 FCfa », fulmine Ismaïla, aviculteur établi à Guédiawaye.
Pour lui, renseigne Vipeoples dans sa parution du jour, il n’y a qu’un seul moyen de combler ce gap, « c’est de revoir les prix à la hausse ». Et de marteler : « Je ne compte pas vendre à moins de 3500 FCfa, c’est clair ».
À la tête d’une structure qui travaille sur des bandes de 2000 poussins, Marème Kane a l’habitude de fournir à des revendeurs. Mais, juste après avoir démarré, elle a pris la peine d’appeler tous ses clients pour leur faire comprendre que les prix seront revus.
« Je ne vais pas vendre à perte quand même ! La hausse est énorme. Imaginez quelqu’un qui consomme 240 sacs en moyenne, vous lui dites qu’il y a une hausse de 1500 FCfa sur chaque sac ? Il est obligé de se réajuster, à moins qu’il soit un philanthrope », dit-elle avec un large sourire.
« Le poussin ne coûte pas plus de 550 FCfa. Le principal souci, c’est l’aliment. Rien que pour une bande de 50 poussins, on a besoin d’au moins six sacs. Pour quelqu’un qui a 100 poussins, la hausse est de 24 000 FCfa », fulmine Ismaïla, aviculteur établi à Guédiawaye.
Pour lui, renseigne Vipeoples dans sa parution du jour, il n’y a qu’un seul moyen de combler ce gap, « c’est de revoir les prix à la hausse ». Et de marteler : « Je ne compte pas vendre à moins de 3500 FCfa, c’est clair ».
À la tête d’une structure qui travaille sur des bandes de 2000 poussins, Marème Kane a l’habitude de fournir à des revendeurs. Mais, juste après avoir démarré, elle a pris la peine d’appeler tous ses clients pour leur faire comprendre que les prix seront revus.
« Je ne vais pas vendre à perte quand même ! La hausse est énorme. Imaginez quelqu’un qui consomme 240 sacs en moyenne, vous lui dites qu’il y a une hausse de 1500 FCfa sur chaque sac ? Il est obligé de se réajuster, à moins qu’il soit un philanthrope », dit-elle avec un large sourire.