C’est samedi prochain que sera installée la commission d’enquête parlementaire pour enquêter sur des faits de corruption au conseil constitutionnel durant le processus électoral de la présidentielle. Si cette enquête aboutie on va la mise en accusation des juges soupçonnés de corruption.
Le Senegal s’achemine vers une crise institutionnelle sur fond de corruption.
Le Conseil constitutionnel est en charge de la sélection des candidats à l’élection présidentielle, il proclame les résultats définitifs en contrôlant les résultats provisoires prononcés par la Cour d’appel et reçoit le serment du nouveau Président.
En matière électorale, c’est avec le Conseil constitutionnel que le pouvoir judiciaire en tant qu’institution de la République, assure son contrôle sur toutes les opérations.
Si l’Assemblée nationale en tant que pouvoir législatif, vote la résolution portant constitution d’une commission d’enquête parlementaire proposée par le Groupe Wallu avec les graves accusations de corruption contre les membres du Conseil constitutionnel relativement à l’élimination des candidats, ce sera une confirmation d’une crise institutionnelle et politique grave de nature à entraver le bon fonctionnement de nos institutions.
Hier le Président Macky Sall a demandé à la majorité parlementaire de soutenir l’action sur PDS pour que la lumière soit faite sur cette affaire de corruption de juges constitutionnels.
Après l’élimination de Karim Wade, le parti démocratique Sénégalais avait promis de déclencher une enquête sur deux magistrats soupçonnés de corruption et de concussion durant les opérations de contrôle du processus de validation des candidats pour la présidentielle du 25 février prochain.
La rédaction
Le Senegal s’achemine vers une crise institutionnelle sur fond de corruption.
Le Conseil constitutionnel est en charge de la sélection des candidats à l’élection présidentielle, il proclame les résultats définitifs en contrôlant les résultats provisoires prononcés par la Cour d’appel et reçoit le serment du nouveau Président.
En matière électorale, c’est avec le Conseil constitutionnel que le pouvoir judiciaire en tant qu’institution de la République, assure son contrôle sur toutes les opérations.
Si l’Assemblée nationale en tant que pouvoir législatif, vote la résolution portant constitution d’une commission d’enquête parlementaire proposée par le Groupe Wallu avec les graves accusations de corruption contre les membres du Conseil constitutionnel relativement à l’élimination des candidats, ce sera une confirmation d’une crise institutionnelle et politique grave de nature à entraver le bon fonctionnement de nos institutions.
Hier le Président Macky Sall a demandé à la majorité parlementaire de soutenir l’action sur PDS pour que la lumière soit faite sur cette affaire de corruption de juges constitutionnels.
Après l’élimination de Karim Wade, le parti démocratique Sénégalais avait promis de déclencher une enquête sur deux magistrats soupçonnés de corruption et de concussion durant les opérations de contrôle du processus de validation des candidats pour la présidentielle du 25 février prochain.
La rédaction