La montagne a simplement accouché d’une souris et les langues pendues qui avaient vite crié au scandale doivent maintenant de raviser. En effet, les charges retenues contre les mis en cause ont été battues en brèche par les avocats et la tenue du procès avait permit à l’opinion d’en savoir sur les motifs réels de l’inculpation du manager de Coumba Gawlo. Pour une usurpation d’identité que les avocats appelaient une substitution d’identité durant le procès, le procureur avait retenu le délit d’association de malfaiteurs, estimant que même si les causes sont nobles dans cette affaire de soutien à un malade, le procédé frauduleux été avéré, ce que la défense a conforté plaidant une erreur de jeunesse pour mettre à l’aise le parquet. Seulement, durant les plaidoiries, les robes noires ont éclairé la lanterne du tribunal et démontré la teneur épaisse du dossier. Une stratégie qui a fait tilt emportant l’adhésion du tribunal qui a voulu avec ce verdict, donner une chance aux mis en cause au lieu de ruiner leur jeunesse , et clore une affaire qui n’en est pas une. .
godakar