«A l’échelle des villes sénégalaises, on a presque 25% du territoire qui sont presque un habitat informel et irrégulier.» La révélation est du directeur de l’Institut africain de gestions urbaines (IAGU), Dr Oumar Cissé, qui a accordé un entretien au journal Le Soleil.
L’urbaniste révèle que ce taux peut augmenter jusqu’à 20 points dans la capitale sénégalaise. «Dans la région de Dakar, nous pouvons atteindre 35% et presque 45%, précise-t-il. Ce sont des zones mal loties. Les populations, par des mécanismes communautaires et informels, ont acquis des sols, souvent sans titre foncier et rares sont ceux qui peuvent l’avoir de façon formelle.»
Dr Oumar Cissé signale que «les conflits» qui atterrissent au tribunal «ont un rapport avec le sol». «Au-delà des questions de donation et d’héritage, il y a beaucoup de drames concernant une bonne partie de ce sol. Nous les voyons aménager dans des quartiers et zones informels parce que les gens l’ont acquis de façon informelle», explique-t-il.
L’urbaniste révèle que ce taux peut augmenter jusqu’à 20 points dans la capitale sénégalaise. «Dans la région de Dakar, nous pouvons atteindre 35% et presque 45%, précise-t-il. Ce sont des zones mal loties. Les populations, par des mécanismes communautaires et informels, ont acquis des sols, souvent sans titre foncier et rares sont ceux qui peuvent l’avoir de façon formelle.»
Dr Oumar Cissé signale que «les conflits» qui atterrissent au tribunal «ont un rapport avec le sol». «Au-delà des questions de donation et d’héritage, il y a beaucoup de drames concernant une bonne partie de ce sol. Nous les voyons aménager dans des quartiers et zones informels parce que les gens l’ont acquis de façon informelle», explique-t-il.