Le collectif des enseignants vacataires de l'université Alioune Diop de Bambey (UABD court, depuis deux semaines, derrière le paiement de leurs heures de vacation du premier semestre, alors même que le second semestre est terminé et n’est pas encore payé.
Le Collectif des vacataires protestataires, à travers un dans un communiqué, fustige le non-paiement des heures effectuées et des arrières dus à certains collègues. "Nous dénonçons également le manque de considération de l’ACP et du Trésor public, sous la coupole du ministre des Finances, après prestation".
Ainsi, le collectif demande aux autorités d’"arrêter de jouer au dilatoire, en payant à une infime partie et en laissant la majorité en rade pour dire qu’ils ont tout réglé", lit-on.
Ainsi, le collectif invite tous les collègues et l’administration à se rencontrer pour une journée de réflexion. Une opportunité qui permettra au collectif de se formaliser et d’inviter les autorités à partager avec eux un mémorandum qui va contenir tous les points à traiter. "Ceci, pour non seulement améliorer la situation des vacataires qui représentent 80 % du système. Mais aussi, pour le bon déroulement des enseignements-apprentissages", conclut-il.
Le Collectif des vacataires protestataires, à travers un dans un communiqué, fustige le non-paiement des heures effectuées et des arrières dus à certains collègues. "Nous dénonçons également le manque de considération de l’ACP et du Trésor public, sous la coupole du ministre des Finances, après prestation".
Ainsi, le collectif demande aux autorités d’"arrêter de jouer au dilatoire, en payant à une infime partie et en laissant la majorité en rade pour dire qu’ils ont tout réglé", lit-on.
Ainsi, le collectif invite tous les collègues et l’administration à se rencontrer pour une journée de réflexion. Une opportunité qui permettra au collectif de se formaliser et d’inviter les autorités à partager avec eux un mémorandum qui va contenir tous les points à traiter. "Ceci, pour non seulement améliorer la situation des vacataires qui représentent 80 % du système. Mais aussi, pour le bon déroulement des enseignements-apprentissages", conclut-il.