D’après Grand-Place, la famille du défunt El Hadji Ibrahima Sakho a exprimé toute sa colère hier. Le terreau réside dans l’implantation d’une industrie agro-agricole de production de vin à Nguékhokh. Face à ce qu’il appelle « une agression inacceptable », le khalife du défunt érudit s’insurge et interpelle toutes les autorités étatiques et religieuses du Sénégal sur l’urgence d’arrêter cette « provocation ». Habib Sakho indique que l’unité agro-industrielle existe dans une localité dont « le nom véritable et la vocation spirituelle doivent énormément à l’Islam et à l’œuvre d’illustres fils de notre communauté musulmane ». Une situation devant laquelle, souligne Imam Sakho, « les autorités locales de Nguékhokh ont exprimé un manque de respect total vis-à -vis de ce que représente la mémoire et l’œuvre des fondateurs de Nguékhokh, aux yeux des musulmans et des Sénégalais ».
Pour M. Sakho, « Nguékhokh est une cité de rédemption où les fidèles voient leurs péchés absous et leurs âmes purifiés. C’est pour cette raison qu’El Hadji Ibou Sakho avait choisi Nguékhokh pour y vivre jusqu’à sa mort et y être inhumé. Les gens viennent de partout pour visiter la cité et y recueillir les bienfaits du Tout-Puissant ».
Donnant de plus amples explications sur l’histoire de cette cité religieuse, le fils d’El Hadji Ibrahima Sakho rappelle : « Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh avait prédit que Nguékhokh serait un des lieux privilégiés où les prières qu’on y effectuera sauveraient le Sénégal. C’est là -bas qu’Ibou Sakho avait fondé son Daara (école coranique) et initié son Gamou annuel en 1929 ainsi que la prière du Salat-ul Tasbih en 1970, au nom et au service de tous les musulmans.
Président de l’Association Nationale des Familles Religieuses du Sénégal, Habib Sakho prévient : « Nous combattons et continuons de combattre jusqu’à la dernière énergie cette exploitation, et par tous les moyens, Incha’Allah ! Et nous n’avons aucun doute sur le soutien de tous les musulmans du Sénégal et des familles religieuses qui se sont appropriés la Salat-ul Tasbih et qui continuent à contribuer à sa célébration annuelle à Nguékhokh depuis 45 ans »
Pour M. Sakho, « Nguékhokh est une cité de rédemption où les fidèles voient leurs péchés absous et leurs âmes purifiés. C’est pour cette raison qu’El Hadji Ibou Sakho avait choisi Nguékhokh pour y vivre jusqu’à sa mort et y être inhumé. Les gens viennent de partout pour visiter la cité et y recueillir les bienfaits du Tout-Puissant ».
Donnant de plus amples explications sur l’histoire de cette cité religieuse, le fils d’El Hadji Ibrahima Sakho rappelle : « Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh avait prédit que Nguékhokh serait un des lieux privilégiés où les prières qu’on y effectuera sauveraient le Sénégal. C’est là -bas qu’Ibou Sakho avait fondé son Daara (école coranique) et initié son Gamou annuel en 1929 ainsi que la prière du Salat-ul Tasbih en 1970, au nom et au service de tous les musulmans.
Président de l’Association Nationale des Familles Religieuses du Sénégal, Habib Sakho prévient : « Nous combattons et continuons de combattre jusqu’à la dernière énergie cette exploitation, et par tous les moyens, Incha’Allah ! Et nous n’avons aucun doute sur le soutien de tous les musulmans du Sénégal et des familles religieuses qui se sont appropriés la Salat-ul Tasbih et qui continuent à contribuer à sa célébration annuelle à Nguékhokh depuis 45 ans »