« Après son forfait, la même famille n’a rien trouvé de beau à me dire que de garder le silence pour ne pas briser la cohésion familiale. Je viens d’un village de Kédougou et mes parents sont des paysans », dit-elle.
« A la mort de mon père, l’année dernière, j’étais obligée de trouver une échappatoire avec ce plus vieux métier du monde. Cependant, j’avoue que je me drogue ou parfois prends de l’alcool (whisky) pour pouvoir faire face et résister au mal que je sens au bas-ventre », avoue-t-elle’
« A la mort de mon père, l’année dernière, j’étais obligée de trouver une échappatoire avec ce plus vieux métier du monde. Cependant, j’avoue que je me drogue ou parfois prends de l’alcool (whisky) pour pouvoir faire face et résister au mal que je sens au bas-ventre », avoue-t-elle’