La dame Pascale Marie Ndour, qui vit en France depuis plusieurs années, a décidé d’investir dans l’immobilier. C’est ainsi que depuis 2 ans, elle a confié une de ses villas au gérant de l’agence «Cauris immobilier» qui lui verse chaque mois la somme de 600.000 FCFA. De cette collaboration, naîtra une confiance aveugle de la dame à l’endroit du chef de l’agence immobilière. M. M. Ly en profite donc pour proposer un terrain de 600 m2 à la dame pour la somme de 14 millions FCFA. Confiante et croyant faire une bonne affaire, la dame met la main à la poche et décaisse le magot,.
Selon L'As qui donne la nouvelle, feu vert est donné au sieur Ly pour entamer immédiatement les démarches. Mais le premier bémol survient lorsque le géomètre a fait le plan cadastral du terrain dont la surface était, en réalité de 500 m2 soit 100 m2 de moins que ce qui était convenu. Informée de cela, Marie Pascale Ndour a donc demandé que le prix de la parcelle soit réduit. Mais puisque les personnes impliquées dans la transaction s’étaient déjà accordées sur le partage du butin, M. M. Ly fait savoir à la dame que le propriétaire de la parcelle refuse de procéder à une quelconque réduction. Pour mieux ferrer la dame, le gérant de l’agence immobilière propose que la vente se fasse auprès d’un huissier. Pour faciliter les démarches, Pascale Marie Ndour fait une procuration à sa fille Hélène Fall qui vit au Sénégal.
C’est ainsi que la fille, accompagnée du sieur Ly et de M. Mbodji, se rend à la mairie de Mbour pour vérifier l’acte de cession et le duplicata de l’acte administratif qui aurait été délivré par la municipalité au nom d’Ali Thiam. L’agent municipal aurait soutenu que le document est vrai, sans aucune autre explication. C’est ainsi que l’acte de vente est produit au niveau du cabinet d’huissier par le clerc Faye. Ce dernier, pour la rédaction du procès verbal de constat sur le versement de l’argent, aurait touché la somme de 500.000 FCFA.
Très confiante, la dame Marie Pascale Ndour, par le biais de sa fille, débute les travaux sur le site. Ainsi, elle commence à faire des briques pour débuter la construction. C’est alors qu’une personne s’est présentée pour lui interdire la poursuite des travaux. Chacun croyant être le propriétaire légitime, ils se sont donné rendez-vous à la DSCOS. Après vérification, il s’est avéré que le premier occupant avait un acte datant de 1991 délivré par le Préfet de l’époque alors que la délibération dont dispose Mlle Fall date de 2001. Ainsi, la dame Marie Pascale Faye, par le biais de sa fille Hélène Fall, a déposé une plainte au niveau de la DSCOS pour rentrer dans ses fonds.
Selon L'As qui donne la nouvelle, feu vert est donné au sieur Ly pour entamer immédiatement les démarches. Mais le premier bémol survient lorsque le géomètre a fait le plan cadastral du terrain dont la surface était, en réalité de 500 m2 soit 100 m2 de moins que ce qui était convenu. Informée de cela, Marie Pascale Ndour a donc demandé que le prix de la parcelle soit réduit. Mais puisque les personnes impliquées dans la transaction s’étaient déjà accordées sur le partage du butin, M. M. Ly fait savoir à la dame que le propriétaire de la parcelle refuse de procéder à une quelconque réduction. Pour mieux ferrer la dame, le gérant de l’agence immobilière propose que la vente se fasse auprès d’un huissier. Pour faciliter les démarches, Pascale Marie Ndour fait une procuration à sa fille Hélène Fall qui vit au Sénégal.
C’est ainsi que la fille, accompagnée du sieur Ly et de M. Mbodji, se rend à la mairie de Mbour pour vérifier l’acte de cession et le duplicata de l’acte administratif qui aurait été délivré par la municipalité au nom d’Ali Thiam. L’agent municipal aurait soutenu que le document est vrai, sans aucune autre explication. C’est ainsi que l’acte de vente est produit au niveau du cabinet d’huissier par le clerc Faye. Ce dernier, pour la rédaction du procès verbal de constat sur le versement de l’argent, aurait touché la somme de 500.000 FCFA.
Très confiante, la dame Marie Pascale Ndour, par le biais de sa fille, débute les travaux sur le site. Ainsi, elle commence à faire des briques pour débuter la construction. C’est alors qu’une personne s’est présentée pour lui interdire la poursuite des travaux. Chacun croyant être le propriétaire légitime, ils se sont donné rendez-vous à la DSCOS. Après vérification, il s’est avéré que le premier occupant avait un acte datant de 1991 délivré par le Préfet de l’époque alors que la délibération dont dispose Mlle Fall date de 2001. Ainsi, la dame Marie Pascale Faye, par le biais de sa fille Hélène Fall, a déposé une plainte au niveau de la DSCOS pour rentrer dans ses fonds.