ssistante-infirmière à l’hôpital Aristide Le Dantec, R. G. a été attraite hier devant la barre du tribunal d’instance de Dakar, pour vol au préjudice d’une célèbre pharmacie.
Elle a dérobé deux modiques brosses à dents. Mais la prévenue a nié les faits. A l’en croire, elle avait oublié de payer les brosses à dents à la pharmacie. Son supérieur l’avait envoyée à la pharmacie pour acheter des médicaments qui coûtent 15.000 francs Cfa pour un patient. Elle en a profité, dit-elle, pour acheter deux brosses à dents. Arrivée à la porte, elle s’est rappelée n’avoir pas payé les brosses. C’est sur ces entrefaites que le vigile l’a interpelée, l’accusant de vol. Elle croyait que la brosse coûtait 1000 francs et non 3000 francs Cfa.
Mais la version du vigile est différente. Selon "L'As", il soutient que la prévenue avait pris deux brosses à son arrivée en les enserrant dans un mouchoir, avant de les mettre dans la poche de sa blouse. Le juge dira à la prévenue qu’une aide-infirmière ne devrait pas faire l’erreur de comparaître pour une banale affaire de deux brosses à dents. Le parquet a requis l’application de la loi. La défense a demandé la relaxe au bénéfice du doute. Déclarée coupable de vol, la prévenue a été dispensée de peine. Les intérêts de la partie civile ont été réservés.
Elle a dérobé deux modiques brosses à dents. Mais la prévenue a nié les faits. A l’en croire, elle avait oublié de payer les brosses à dents à la pharmacie. Son supérieur l’avait envoyée à la pharmacie pour acheter des médicaments qui coûtent 15.000 francs Cfa pour un patient. Elle en a profité, dit-elle, pour acheter deux brosses à dents. Arrivée à la porte, elle s’est rappelée n’avoir pas payé les brosses. C’est sur ces entrefaites que le vigile l’a interpelée, l’accusant de vol. Elle croyait que la brosse coûtait 1000 francs et non 3000 francs Cfa.
Mais la version du vigile est différente. Selon "L'As", il soutient que la prévenue avait pris deux brosses à son arrivée en les enserrant dans un mouchoir, avant de les mettre dans la poche de sa blouse. Le juge dira à la prévenue qu’une aide-infirmière ne devrait pas faire l’erreur de comparaître pour une banale affaire de deux brosses à dents. Le parquet a requis l’application de la loi. La défense a demandé la relaxe au bénéfice du doute. Déclarée coupable de vol, la prévenue a été dispensée de peine. Les intérêts de la partie civile ont été réservés.
Ndèye Fatou Kébé