Après son service militaire, F. Goudiaby s’est reconverti agent de sécurité. Recruté depuis 2006 par la société de gardiennage, SPS Sécurité, le quinquagénaire sera affecté par la suite à l’entreprise Senevisa en 2017. Accusé d’avoir subtilisé 1.100.000 francs dans le bureau du directeur technique de son employeur, le mis en cause a été condamné hier, à deux ans d’emprisonnement, dont deux mois ferme. “Je suis entré dans le bureau pour éteindre la lampe et le climatiseur dans la nuit du 6 juillet. Mais, j’ai pas volé l’argent”, a juré le père de famille de sept enfants lors de son procès mercredi dernier.
Sur les faits, le Directeur Technique avait remarqué qu’il manquait plus de 800.000 francs dans l’enveloppe qu’il avait gardé dans l’armoire de son bureau. “Quand j’ai informé la Direction générale, la décision de piéger le voleur a été prise par l’achat et la mise en place d’une caméra cachée dans le bureau. Quelques jours après, on s’est encore une fois rendu compte que le voleur avait de nouveau passé à l’acte car il manquait la somme de 100.000 francs. Le lendemain matin, une lecture de la vidéosurveillance a permis de voir nettement le prévenu fermer le portail central, aller directement ouvrir le tiroir de la table du bureau du couloir et récupérer la clef de la direction technique. Il est entré dans le bureau pour en ressortir des minutes plus tard”, a raconté le représentant de la partie civile.
Selon les informations de Rewmi, lors de sa plaidoirie, l’avocat de la société a réclamé 1,5 million FCFA, à titre de dédommagement. Après le parquet qui s’est rapporté à la sagesse du tribunal, la défense a plaidé la relaxe, à titre principal. Et une application bienveillante de la loi, à titre subsidiaire.
Sur les faits, le Directeur Technique avait remarqué qu’il manquait plus de 800.000 francs dans l’enveloppe qu’il avait gardé dans l’armoire de son bureau. “Quand j’ai informé la Direction générale, la décision de piéger le voleur a été prise par l’achat et la mise en place d’une caméra cachée dans le bureau. Quelques jours après, on s’est encore une fois rendu compte que le voleur avait de nouveau passé à l’acte car il manquait la somme de 100.000 francs. Le lendemain matin, une lecture de la vidéosurveillance a permis de voir nettement le prévenu fermer le portail central, aller directement ouvrir le tiroir de la table du bureau du couloir et récupérer la clef de la direction technique. Il est entré dans le bureau pour en ressortir des minutes plus tard”, a raconté le représentant de la partie civile.
Selon les informations de Rewmi, lors de sa plaidoirie, l’avocat de la société a réclamé 1,5 million FCFA, à titre de dédommagement. Après le parquet qui s’est rapporté à la sagesse du tribunal, la défense a plaidé la relaxe, à titre principal. Et une application bienveillante de la loi, à titre subsidiaire.