La gendarmerie de la Foire a démantelé un réseau de prostituées qui se faisaient passer pour des masseuses. À leur tête, Ng. M. Ndiaye, qui employait quatre filles, A. Faye, Nd. Ndiaye (une femme mariée), R. Guèye et S. Faye, dans un appartement situé à Ouest-Foire. Jugé ce mardi devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, ces dernières ont été condamnées à trois mois avec sursis.
D’après L’Observateur, qui donne l’information, Ng. M. Ndiaye utilisait les réseaux sociaux pour faire la promotion de son business. Elle publiait des photos de filles aux formes généreuses ainsi que les numéros à contacter. Après avoir reçu un signalement, la brigade de la Foire a mis un de ses éléments sur le coup. Ce dernier s’est fait passer pour un client, lit-on dans Rewmi.
Il est reçu par Ng. M. Ndiaye, qui lui réclame 40 000 francs CFA pour un massage «body-body». Le marché conclu, le gendarme endosse son rôle pendant un moment, histoire de prendre la mise en cause en flagrant délit. Celle-ci tombe dans le panneau.
Une perquisition de l’appartement a permis aux enquêteurs de saisir des paquets de préservatifs, des bouteilles d’huile et divers autres objets.
À la barre, les cinq prévenues ont tenté de nier les faits. Ng. M. Ndiaye affirmant qu’elle est masseuse professionnelle (elle a brandi un diplôme), la mariée jurant qu’elle est juste femme de ménage dans l’appartement et les autres s’abritant derrière le fait qu’elles venaient d’être recrutées.
Leur défense n’a pas empêché leur condamnation.
D’après L’Observateur, qui donne l’information, Ng. M. Ndiaye utilisait les réseaux sociaux pour faire la promotion de son business. Elle publiait des photos de filles aux formes généreuses ainsi que les numéros à contacter. Après avoir reçu un signalement, la brigade de la Foire a mis un de ses éléments sur le coup. Ce dernier s’est fait passer pour un client, lit-on dans Rewmi.
Il est reçu par Ng. M. Ndiaye, qui lui réclame 40 000 francs CFA pour un massage «body-body». Le marché conclu, le gendarme endosse son rôle pendant un moment, histoire de prendre la mise en cause en flagrant délit. Celle-ci tombe dans le panneau.
Une perquisition de l’appartement a permis aux enquêteurs de saisir des paquets de préservatifs, des bouteilles d’huile et divers autres objets.
À la barre, les cinq prévenues ont tenté de nier les faits. Ng. M. Ndiaye affirmant qu’elle est masseuse professionnelle (elle a brandi un diplôme), la mariée jurant qu’elle est juste femme de ménage dans l’appartement et les autres s’abritant derrière le fait qu’elles venaient d’être recrutées.
Leur défense n’a pas empêché leur condamnation.