Cette proposition de décret s’inscrit dans le cadre d’un état d’urgence mis en place par le gouvernement de Giorgia Meloni, Première ministre italienne. L’opposition italienne, elle, se refuse à appliquer cet état d’urgence, craignant des politiques de renvoi pur et dur, sans volonté d’intégration des migrants.
Selon Matteo Lepore, maire de Bologne au Nord de l’Italie, «l’état d’urgence est décrété, et non seulement le gouvernement ne veut pas dialoguer avec nous pour élargir notre capacité d’accueil et d’inclusion, mais il veut la réduire».
La situation migratoire de l’Italie est un réel problème actuel dans la Botte, alors qu’elle enregistre 32 000 nouveaux arrivants depuis le début de l’année. Avec de plus en plus de ressortissants africains cherchant à rejoindre l’Europe, certains venant de Tunisie où ils sont déjà chassés, le gouvernement d’extrême droite d’Italie, cherche par tous les moyens à trouver une solution pour repousser le flux.
Selon Matteo Lepore, maire de Bologne au Nord de l’Italie, «l’état d’urgence est décrété, et non seulement le gouvernement ne veut pas dialoguer avec nous pour élargir notre capacité d’accueil et d’inclusion, mais il veut la réduire».
La situation migratoire de l’Italie est un réel problème actuel dans la Botte, alors qu’elle enregistre 32 000 nouveaux arrivants depuis le début de l’année. Avec de plus en plus de ressortissants africains cherchant à rejoindre l’Europe, certains venant de Tunisie où ils sont déjà chassés, le gouvernement d’extrême droite d’Italie, cherche par tous les moyens à trouver une solution pour repousser le flux.