Le montant des transferts d’argent de la diaspora d’origine subsaharienne a dépassé depuis quelques années le montant de l’aide publique au développement. Il était de 46 milliards de dollars il y a deux ans, selon les données de la Banque mondiale.
Pour Ibrahima Diouf, le directeur général EcoBank International, il est possible d’expliquer cette augmentation du flux des transferts : « Un changement entre le virement social et le virement d’investissement, et l’investissement immobilier notamment. 45 milliards, ça ne peut pas être du virement social. Une bonne partie de ces transferts-là, c’est également pour financer l’accès à l’immobilier, l’accès à l’éducation, l’accès à la santé. »
Des taux attractifs
La diaspora finance donc aujourd’hui entre autres un certain nombre de centres de santé et d’écoles. Face à des concurrents comme les sociétés américaines Western Union et Moneygram, Rapidtransfer d’Ecobank veut réduire considérablement les coûts du transfert pour sa clientèle.
« Nous avons des taux attractifs. Mais du fait que nous avons un accès à l’ensemble des devises africaines, donc, cela nous permet d’avoir des coûts modérés par rapport à d’autres de nos concurrents qui justement viennent vers nous pour avoir cette possibilité de faire le change. Inévitablement, cela se répercute sur l’offre que nous pouvons proposer à nos clients », estime Guillaume Pambrun, responsable d’Africa Rapidtransfer.
Rapidtransfer International ne cible aujourd’hui que la diaspora africaine installée en Europe. Ecobank s’intéressera plus tard aux transferts envoyés du Canada et des États-Unis vers l’Afrique subsaharienne.
Pour Ibrahima Diouf, le directeur général EcoBank International, il est possible d’expliquer cette augmentation du flux des transferts : « Un changement entre le virement social et le virement d’investissement, et l’investissement immobilier notamment. 45 milliards, ça ne peut pas être du virement social. Une bonne partie de ces transferts-là, c’est également pour financer l’accès à l’immobilier, l’accès à l’éducation, l’accès à la santé. »
Des taux attractifs
La diaspora finance donc aujourd’hui entre autres un certain nombre de centres de santé et d’écoles. Face à des concurrents comme les sociétés américaines Western Union et Moneygram, Rapidtransfer d’Ecobank veut réduire considérablement les coûts du transfert pour sa clientèle.
« Nous avons des taux attractifs. Mais du fait que nous avons un accès à l’ensemble des devises africaines, donc, cela nous permet d’avoir des coûts modérés par rapport à d’autres de nos concurrents qui justement viennent vers nous pour avoir cette possibilité de faire le change. Inévitablement, cela se répercute sur l’offre que nous pouvons proposer à nos clients », estime Guillaume Pambrun, responsable d’Africa Rapidtransfer.
Rapidtransfer International ne cible aujourd’hui que la diaspora africaine installée en Europe. Ecobank s’intéressera plus tard aux transferts envoyés du Canada et des États-Unis vers l’Afrique subsaharienne.