Babacar Sall, présenté comme le bras droit de Boy Djinné, a été arrêté mardi dernier. Il était recherché par la gendarmerie pour avoir floué un Gérant de magasin multiservices. Venu effectuer un transfert d’un montant de 100 000 francs Cfa, il n’a déposé pour l’essentiel que des faux billets : 70 000. Lorsque son interlocuteur s’est rendu compte de la supercherie, il avait déjà tourné les talons, rapporte La Tribune dans son édition de ce mardi.
Le gérant eut le réflexe d’annuler la transaction. Furieux de constater plus tard que sa manœuvre n’est pas passée, il est revenu dans le magasin pour se plaindre. C’est ainsi qu’il sera arrêté par les gendarmes, qui ont été entre-temps alertés. Au cours de son audition, Sall a révélé qu’il travaillait pour Boy Djinné qu’il a connu en prison, à Rebeuss, qu’il échangeait avec lui sur WhatsApp presque tous les jours et qu’il s’apprêtait à lancer une campagne de communication pour faire croire à l’opinion que Boy Djinné avait quitté la Gambie pour l’Angleterre.
Histoire peut-être de semer la police. Les relevés des appels téléphoniques du mis en cause montrent que les deux hommes étaient en contact. Placé en garde à vue, depuis le 17 mai, il a été présenté à la barre, hier, lundi 23 mai. Le procureur a requis deux ans contre lui. Il sera fixé sur son sort ce mercredi.
Le gérant eut le réflexe d’annuler la transaction. Furieux de constater plus tard que sa manœuvre n’est pas passée, il est revenu dans le magasin pour se plaindre. C’est ainsi qu’il sera arrêté par les gendarmes, qui ont été entre-temps alertés. Au cours de son audition, Sall a révélé qu’il travaillait pour Boy Djinné qu’il a connu en prison, à Rebeuss, qu’il échangeait avec lui sur WhatsApp presque tous les jours et qu’il s’apprêtait à lancer une campagne de communication pour faire croire à l’opinion que Boy Djinné avait quitté la Gambie pour l’Angleterre.
Histoire peut-être de semer la police. Les relevés des appels téléphoniques du mis en cause montrent que les deux hommes étaient en contact. Placé en garde à vue, depuis le 17 mai, il a été présenté à la barre, hier, lundi 23 mai. Le procureur a requis deux ans contre lui. Il sera fixé sur son sort ce mercredi.