L’un des nombreux Sénégalais jihadistes établis en Libye s’est confié à Radio France international (Rfi). Posant tout sourire sur le réseau social, l’interlocuteur de la « radio mondiale », d’après Le Quotidien, fait déjà dans la menace contre son pays. « Le Jihad est notre religion, l’islam nous a ordonné de combattre ceux qui ont apostasié. Au Sénégal, l’Islam est caricaturé et le Sénégal va savoir qu’Allah nous a choisis pour combattre », affirme ce combattant de Daesh, à propos de son intention de mener le jihad dans son pays d’origine.
Le Sénégal, faut-il le rappeler, par le biais de ses autorités, met l’accent sur la sensibilisation des populations, a décidé de dégager une enveloppe de 13 milliards de F Cfa pour combattre le terrorisme et renforcer la surveillance aux frontières du pays. Il faut dire que les rangs de l’Etat islamique (Ei) continuent de grossir avec des membres sénégalais qui intègrent l’organisation jihadiste.
Le jeune jihadiste sénégalais, qui a subi l’entraînement militaire en Libye, révélera même à Rfi : « Les Sénégalais sont très nombreux ici à Syrte, Nofilah, Ben Jawad, et nous avons aussi des partisans ou Sénégal ». Aussi, fait-il savoir : « Nous avons voulu commencer le combat au Sénégal, explique-t-il, mais les armes sont difficiles à trouver, alors nous avons décidé de rejoindre nos frères en Libye ». Une autre façon pour lui de faire état des difficultés qui les ont empêchés de mener le jihad dans leur pays d’origine. Il raconte, selon le site Rfi.fr, notamment la bataille d’Al-Sedra à laquelle il dit avoir participé pour le contrôle du croissant pétrolier libyen. « Le chemin est top secret », s’est-il contenté de déclarer. Et le jihadiste sénégalais d’expliquer : « J’avais vu que je ne pouvais plus vivre au Sénégal, car la charia n’est pas appliquée. J’ai toujours voulu aller en Syrie, mais Allah ne me l’a pas appliquée. Je me suis donc dit qu’il fallait aller en Lybie, car c’est le même jihad ».
Le Sénégal, faut-il le rappeler, par le biais de ses autorités, met l’accent sur la sensibilisation des populations, a décidé de dégager une enveloppe de 13 milliards de F Cfa pour combattre le terrorisme et renforcer la surveillance aux frontières du pays. Il faut dire que les rangs de l’Etat islamique (Ei) continuent de grossir avec des membres sénégalais qui intègrent l’organisation jihadiste.
Le jeune jihadiste sénégalais, qui a subi l’entraînement militaire en Libye, révélera même à Rfi : « Les Sénégalais sont très nombreux ici à Syrte, Nofilah, Ben Jawad, et nous avons aussi des partisans ou Sénégal ». Aussi, fait-il savoir : « Nous avons voulu commencer le combat au Sénégal, explique-t-il, mais les armes sont difficiles à trouver, alors nous avons décidé de rejoindre nos frères en Libye ». Une autre façon pour lui de faire état des difficultés qui les ont empêchés de mener le jihad dans leur pays d’origine. Il raconte, selon le site Rfi.fr, notamment la bataille d’Al-Sedra à laquelle il dit avoir participé pour le contrôle du croissant pétrolier libyen. « Le chemin est top secret », s’est-il contenté de déclarer. Et le jihadiste sénégalais d’expliquer : « J’avais vu que je ne pouvais plus vivre au Sénégal, car la charia n’est pas appliquée. J’ai toujours voulu aller en Syrie, mais Allah ne me l’a pas appliquée. Je me suis donc dit qu’il fallait aller en Lybie, car c’est le même jihad ».