Les questions foisonnent, après la découverte, hier matin, d’un homme de quarante ans pendu dans sa chambre à Djibélor. Le corps du défunt a été découvert par sa mère.
« Mon beau-frère m’a appelé samedi, disant que son neveu a eu des soucis et, a été poursuivi par des gens qui le menaçaient de mort. Il avait même sollicité la protection de la gendarmerie, dont des éléments étaient d’ailleurs, venus à la maison, à sa recherche. Je croyais que les hommes en bleu l’entendraient et le mettraient en sécurité.
Malheureusement, il revenu à la maison vers 19h, a échangé avec sa mère avant d’aller ranger sa chambre. C’est à ce moment que sa maman a entendu beaucoup de bruit. La porte fermée à clé, elle l’a forcée et, est tombée sur son fils mort, pendu », raconte la tante du défunt, marie Hélène Kabo.
Les sapeurs-pompiers ont déposé la dépouille à la morgue de l’hôpital de la paix. Et, les gendarmes ont ouvert une enquête.
L’observateur
« Mon beau-frère m’a appelé samedi, disant que son neveu a eu des soucis et, a été poursuivi par des gens qui le menaçaient de mort. Il avait même sollicité la protection de la gendarmerie, dont des éléments étaient d’ailleurs, venus à la maison, à sa recherche. Je croyais que les hommes en bleu l’entendraient et le mettraient en sécurité.
Malheureusement, il revenu à la maison vers 19h, a échangé avec sa mère avant d’aller ranger sa chambre. C’est à ce moment que sa maman a entendu beaucoup de bruit. La porte fermée à clé, elle l’a forcée et, est tombée sur son fils mort, pendu », raconte la tante du défunt, marie Hélène Kabo.
Les sapeurs-pompiers ont déposé la dépouille à la morgue de l’hôpital de la paix. Et, les gendarmes ont ouvert une enquête.
L’observateur