C’est une histoire pour le moins complexe que doit démêler à travers le viol dont aurait été victime une dame de la part d’un chauffeur de taxi d’une compagnie desservant le trajet Touba-Dakar. Après avoir violé la bonne dame, le taxi- man l’aurait abandonnée sur la VDN. Une congestion sexuelle au cours de laquelle la victime a contracté une grossesse.
Qui a raison dans cette histoire ? en tout cas, les faits tels que racontés par les deux protagonistes présentent de nombreuses zones d’ombre. la victime du nom d’awa sow dit avoir connu celui qui deviendra son bourreau grâce à une amie qui le lui avait recommandé pour ses fréquents dé- placements à touba où vivent ses parents. Malheureusement pour elle, le premier jour, le chauffeur n’avait pas de place disponible. néanmoins, ils au- raient gardé le contact et s’appelaient fréquemment. « De temps en temps, il m’appelait pour me saluer et voir comment j’allais. Un jour, il m’a fait des avances au téléphone avant de proposer de me rendre visite », raconte la victime aux policiers. Mais plutôt que de l’éconduire, elle l’a invité chez elle. et toujours à en croire la plaignante, le chauffeur s’est présenté chez elle vers les coups de 16h tout en refusant de descendre de son véhicule à bord duquel il a in- vité la dame à prendre place. « Une fois à l’intérieur, il a mis un mouchoir sur mon nez et j’ai perdu connaissance. Après avoir satisfait sa libido, il m’a abandonnée sur la VDN vers les coups de 20 heures » a-t-elle aux policiers du commissariat des p. a. a l’en croire, quand elle a essayé par la suite de join- dre son violeur, celui-ci l’aurait menacée de ses foudres avant de lui raccrocher au nez. depuis lors, il refusait de prendre ses messages ou appels. et c’est deux mois après ce présumé viol qu’elle se serait rendue compte qu’elle avait contracté une grossesse.
Bien entendu, le mis en cause a nié être l’auteur de ce viol. Revenant sur leur relation, il confirme que la victime voulait effectivement se faire transporter à touba. n’ayant pas de places disponibles, il lui avait demandé de se rapprocher d’un collègue. « A son retour sur Dakar, elle m’a envoyé un audio via WhatsApp pour me remercier. C’est au cours d’une discussion au téléphone, qu’elle m’a demandé si j’étais marié. Après que je lui ai répondu par l’affirmative, elle m’a dit qu’elle était une femme divorcée et mère d’un enfant. Malgré tout cela, on ne s’est jamais vus. Et un jour, à ma grande surprise, elle
m’a appelé pour me dire qu’elle a contracté une grosses dont je suis l’auteur alors que ne l’ai jamais vue », s’est défendu le chauffeur de taxi. Une histoire pour le moins complexe, force est de le reconnaître. l’enquête suit son cours
Qui a raison dans cette histoire ? en tout cas, les faits tels que racontés par les deux protagonistes présentent de nombreuses zones d’ombre. la victime du nom d’awa sow dit avoir connu celui qui deviendra son bourreau grâce à une amie qui le lui avait recommandé pour ses fréquents dé- placements à touba où vivent ses parents. Malheureusement pour elle, le premier jour, le chauffeur n’avait pas de place disponible. néanmoins, ils au- raient gardé le contact et s’appelaient fréquemment. « De temps en temps, il m’appelait pour me saluer et voir comment j’allais. Un jour, il m’a fait des avances au téléphone avant de proposer de me rendre visite », raconte la victime aux policiers. Mais plutôt que de l’éconduire, elle l’a invité chez elle. et toujours à en croire la plaignante, le chauffeur s’est présenté chez elle vers les coups de 16h tout en refusant de descendre de son véhicule à bord duquel il a in- vité la dame à prendre place. « Une fois à l’intérieur, il a mis un mouchoir sur mon nez et j’ai perdu connaissance. Après avoir satisfait sa libido, il m’a abandonnée sur la VDN vers les coups de 20 heures » a-t-elle aux policiers du commissariat des p. a. a l’en croire, quand elle a essayé par la suite de join- dre son violeur, celui-ci l’aurait menacée de ses foudres avant de lui raccrocher au nez. depuis lors, il refusait de prendre ses messages ou appels. et c’est deux mois après ce présumé viol qu’elle se serait rendue compte qu’elle avait contracté une grossesse.
Bien entendu, le mis en cause a nié être l’auteur de ce viol. Revenant sur leur relation, il confirme que la victime voulait effectivement se faire transporter à touba. n’ayant pas de places disponibles, il lui avait demandé de se rapprocher d’un collègue. « A son retour sur Dakar, elle m’a envoyé un audio via WhatsApp pour me remercier. C’est au cours d’une discussion au téléphone, qu’elle m’a demandé si j’étais marié. Après que je lui ai répondu par l’affirmative, elle m’a dit qu’elle était une femme divorcée et mère d’un enfant. Malgré tout cela, on ne s’est jamais vus. Et un jour, à ma grande surprise, elle
m’a appelé pour me dire qu’elle a contracté une grosses dont je suis l’auteur alors que ne l’ai jamais vue », s’est défendu le chauffeur de taxi. Une histoire pour le moins complexe, force est de le reconnaître. l’enquête suit son cours