Si les faits qui lui sont reprochés sont avérés, notre compatriote résidant en France, Mamadou S., risque de faire un long séjour en prison. Considéré comme le principal suspect du meurtre de son épouse Haby S. avec qui il s’était marié au Sénégal, il a été mis en examen pour « homicide sur conjoint » et placé en détention provisoire.
En effet, raconte "L'As", dans la nuit de lundi 03 au mardi 04 mai, au quartier Beaulieu, à Chartres, l’homme a appelé le Samu. Au bout du fil, il raconte que sa femme ne respire plus parce qu’elle a reçu un coup de la part d’un individu qui a pris la fuite. Mais les premières constations faites sur le corps de la victime, font état de traces de griffures sur le visage. L’autopsie, pratiquée mercredi dernier a révélé que Haby S. était morte asphyxiée « par un mécanisme d’étouffement ».
Selon le procureur de la République de Chartres, Rémi Coutin, les enquêteurs ont estimé que les déclarations de Mamadou S. sont très incohérentes et que le récit fait par le présumé meurtrier ne correspond pas à la réalité. Indiquant que de lourds soupçons pèsent sur lui, il a estimé qu’il pourrait s’agir d’un féminicide. D’après certaines informations, le mis en cause, serveur à Paris, est actuellement en chômage partiel et n’a pas de casier judiciaire. Les premiers éléments de l’enquête n’ont pas montré que le couple avait des problèmes.
En effet, raconte "L'As", dans la nuit de lundi 03 au mardi 04 mai, au quartier Beaulieu, à Chartres, l’homme a appelé le Samu. Au bout du fil, il raconte que sa femme ne respire plus parce qu’elle a reçu un coup de la part d’un individu qui a pris la fuite. Mais les premières constations faites sur le corps de la victime, font état de traces de griffures sur le visage. L’autopsie, pratiquée mercredi dernier a révélé que Haby S. était morte asphyxiée « par un mécanisme d’étouffement ».
Selon le procureur de la République de Chartres, Rémi Coutin, les enquêteurs ont estimé que les déclarations de Mamadou S. sont très incohérentes et que le récit fait par le présumé meurtrier ne correspond pas à la réalité. Indiquant que de lourds soupçons pèsent sur lui, il a estimé qu’il pourrait s’agir d’un féminicide. D’après certaines informations, le mis en cause, serveur à Paris, est actuellement en chômage partiel et n’a pas de casier judiciaire. Les premiers éléments de l’enquête n’ont pas montré que le couple avait des problèmes.