Le montant global de l’accord de financement est de 2,335 milliards FCFA dont 1,967 milliard au titre de la contribution de l’Agence française de développement et 367,335 millions FCFA à la charge de la BCEAO.
La convention de financement paraphée par le Vice-Gouverneur de la BCEAO et l’Ambassadeur de la France à Dakar, cible des activités spécifiques à mener dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie régionale d’inclusion financière dans l’UEMOA.
Il s’agit d’identifier et de lever les “obstacles réglementaires à l’innovation financière“ ; renforcer les capacités des Structures ministérielles de suivi (SMS) des systèmes financiers décentralisés (SFD) ; recenser les systèmes financiers décentralisés en difficulté, les diagnostiquer et appuyer leur restructuration ou leur redressement. L’accord de financement vise également à définir un cadre de prévention et de résolution de crises applicables au secteur de la microfinance.
« L’objectif de ce présent partenariat est d’appuyer la Banque Centrale dans la réalisation d’activités clés qu’elle porte au titre de la mise en œuvre de cette stratégie en vue de favoriser l’accès permanent à un ensemble de produits, de services financiers diversifiés, abordables et adaptés aux besoins des populations. C’est la clé du développement de demain et d’aujourd’hui », a dit Christophe Bigot, ambassadeur de la France au Sénégal et signataire de l’accord pour l’AFD.
Pour sa part, le Vice-Gouverneur de la BCEAO, Abdoulaye Diop, représentant le Gouverneur Tiémoko Meyliet Koné empêché, a salué le soutien de la France à la Stratégie régionale d’inclusion financière dans l’UEMOA.
« L’acte que nous posons aujourd’hui consacre la volonté réaffirmée de la République française de soutenir la Stratégie régionale d’inclusion financière dans l’UEMOA. Il démontre, si besoin en est, l’excellence de nos relations ainsi que notre vision et notre volonté communes de faire de l’inclusion financière un levier de développement économique et un puissant vecteur d’amélioration du bien-être de nos populations », a indiqué Abdoulaye Diop.
À terme, d’importants résultats sont attendus de ce partenariat. Premièrement, les capacités des institutions et des acteurs devront être améliorées et les standards mis en œuvre en matière d’éducation financière et de protection des consommateurs des services financiers. Deuxièmement, une amélioration des connaissances des marchés par les pouvoirs publics et les institutions est attendue. Ce qui devra permettre l’adoption de politiques nationales d’inclusion financière cohérente.
news.abidjan.net
La convention de financement paraphée par le Vice-Gouverneur de la BCEAO et l’Ambassadeur de la France à Dakar, cible des activités spécifiques à mener dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie régionale d’inclusion financière dans l’UEMOA.
Il s’agit d’identifier et de lever les “obstacles réglementaires à l’innovation financière“ ; renforcer les capacités des Structures ministérielles de suivi (SMS) des systèmes financiers décentralisés (SFD) ; recenser les systèmes financiers décentralisés en difficulté, les diagnostiquer et appuyer leur restructuration ou leur redressement. L’accord de financement vise également à définir un cadre de prévention et de résolution de crises applicables au secteur de la microfinance.
« L’objectif de ce présent partenariat est d’appuyer la Banque Centrale dans la réalisation d’activités clés qu’elle porte au titre de la mise en œuvre de cette stratégie en vue de favoriser l’accès permanent à un ensemble de produits, de services financiers diversifiés, abordables et adaptés aux besoins des populations. C’est la clé du développement de demain et d’aujourd’hui », a dit Christophe Bigot, ambassadeur de la France au Sénégal et signataire de l’accord pour l’AFD.
Pour sa part, le Vice-Gouverneur de la BCEAO, Abdoulaye Diop, représentant le Gouverneur Tiémoko Meyliet Koné empêché, a salué le soutien de la France à la Stratégie régionale d’inclusion financière dans l’UEMOA.
« L’acte que nous posons aujourd’hui consacre la volonté réaffirmée de la République française de soutenir la Stratégie régionale d’inclusion financière dans l’UEMOA. Il démontre, si besoin en est, l’excellence de nos relations ainsi que notre vision et notre volonté communes de faire de l’inclusion financière un levier de développement économique et un puissant vecteur d’amélioration du bien-être de nos populations », a indiqué Abdoulaye Diop.
À terme, d’importants résultats sont attendus de ce partenariat. Premièrement, les capacités des institutions et des acteurs devront être améliorées et les standards mis en œuvre en matière d’éducation financière et de protection des consommateurs des services financiers. Deuxièmement, une amélioration des connaissances des marchés par les pouvoirs publics et les institutions est attendue. Ce qui devra permettre l’adoption de politiques nationales d’inclusion financière cohérente.
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