Les funérailles du président tunisien Béji Caïd Essebsi se tiennent samedi 27 juillet à partir de 11 h, heure locale, au palais présidentiel de Carthage, en présence de plusieurs dirigeants internationaux, dont le président français, Emmanuel Macron, le chef de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, le président algérien par intérim, Abdelkader Bensalah ou encore le secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Aboul Gheit.
Le cortège funèbre quittera le palais de Carthage vers le cimetière du Djellaz, à environ 25 km de là, où Béji Caïd Essebsi sera inhumé aux côtés des membres de sa famille.
De nombreux Tunisiens sont attendus dans ce vaste cimetière en plein Tunis, pour faire leur dernier adieu à leur président, décédé le jour où la Tunisie célébrait la proclamation de la République en 1957.
Le ministère de l’Intérieur a indiqué avoir déployé un important dispositif de sécurité, tout en respectant les « rassemblements spontanés de citoyens ».
Des hommages du monde entier
Depuis l’annonce du décès, les hommages internationaux ont afflué pour saluer le rôle crucial du président dans la « marche vers la démocratie » dans le berceau du Printemps arabe. Des pays voisins comme l’Algérie, l’Égypte, la Libye, la Jordanie ou la Mauritanie ont décrété trois jours de deuil.
Le chef du Parlement, Mohamed Ennaceur, 85 ans, qui a prêté serment quelques heures après le décès de Béji Caïd Essebsi, est chargé d’assurer la présidence par intérim pour 90 jours maximum, soit jusqu’à fin octobre.
L’instance supérieure indépendante chargée d’organiser des élections (Isie) a annoncé jeudi une élection présidentielle anticipée « probable » dès le 15 septembre, au lieu du 17 novembre initialement prévu, ce qui bouleverse le calendrier électoral. Des législatives sont prévues le 6 octobre.
France24
Le cortège funèbre quittera le palais de Carthage vers le cimetière du Djellaz, à environ 25 km de là, où Béji Caïd Essebsi sera inhumé aux côtés des membres de sa famille.
De nombreux Tunisiens sont attendus dans ce vaste cimetière en plein Tunis, pour faire leur dernier adieu à leur président, décédé le jour où la Tunisie célébrait la proclamation de la République en 1957.
Le ministère de l’Intérieur a indiqué avoir déployé un important dispositif de sécurité, tout en respectant les « rassemblements spontanés de citoyens ».
Des hommages du monde entier
Depuis l’annonce du décès, les hommages internationaux ont afflué pour saluer le rôle crucial du président dans la « marche vers la démocratie » dans le berceau du Printemps arabe. Des pays voisins comme l’Algérie, l’Égypte, la Libye, la Jordanie ou la Mauritanie ont décrété trois jours de deuil.
Le chef du Parlement, Mohamed Ennaceur, 85 ans, qui a prêté serment quelques heures après le décès de Béji Caïd Essebsi, est chargé d’assurer la présidence par intérim pour 90 jours maximum, soit jusqu’à fin octobre.
L’instance supérieure indépendante chargée d’organiser des élections (Isie) a annoncé jeudi une élection présidentielle anticipée « probable » dès le 15 septembre, au lieu du 17 novembre initialement prévu, ce qui bouleverse le calendrier électoral. Des législatives sont prévues le 6 octobre.
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