L’opération de sécurisation et de la traque des assaillants, déclenchée suite au carnage de Boya-Bayottes, serait-elle passée dans une nouvelle phase, surtout après la visite du Cemga ce jeudi dans la partie du sud du pays ? En tout cas, selon les informations fournies par le journal Le Quotidien, dans la journée et la nuit du jeudi, les hommes du colonel Khar Diouf sont passés à la vitesse supérieure dans le cadre de cette opération, au niveau de la zone de Toubacouta et ses environs.
Au-delà des opérations de ratissage menées sur le théâtre des opérations, l’Armée a mis à contribution durant la nuit du jeudi à vendredi l’avion de reconnaissance, l’appareil militaire qui a procédé à des bombardements aériens nourris. Des bombardements qui ont perturbé le sommeil des Ziguinchorois.
Des populations qui ont eu ailleurs droit au petit matin à deux fortes détonations: la première enregistrée à 6h 35 et la seconde à 6h 47. L’appareil militaire a également tout au long de la matinée d’hier poursuivi sa mission de reconnaissance pour la localisation d’éventuelles cibles. « Des mesures spéciales qui entrent dans le cadre de la mission de l’Armée », avait averti Khar Diouf. Le commandement de la zone militaire n°5 a en outre demandé aux populations, de garder leur calme face à une telle situation.
Au-delà des opérations de ratissage menées sur le théâtre des opérations, l’Armée a mis à contribution durant la nuit du jeudi à vendredi l’avion de reconnaissance, l’appareil militaire qui a procédé à des bombardements aériens nourris. Des bombardements qui ont perturbé le sommeil des Ziguinchorois.
Des populations qui ont eu ailleurs droit au petit matin à deux fortes détonations: la première enregistrée à 6h 35 et la seconde à 6h 47. L’appareil militaire a également tout au long de la matinée d’hier poursuivi sa mission de reconnaissance pour la localisation d’éventuelles cibles. « Des mesures spéciales qui entrent dans le cadre de la mission de l’Armée », avait averti Khar Diouf. Le commandement de la zone militaire n°5 a en outre demandé aux populations, de garder leur calme face à une telle situation.