Le président élu des Etats-Unis entrera en fonction le 20 janvier. Et face au risque d'une politique anti-avortement, nombres de femmes se mobilisent pour s'encourager à consulter un gynécologue avant. Connu pour ses propos sexistes, mis en cause dans des affaires de harcèlement sexuel, mais jamais condamné, Donald Trump a réaffirmé sa position anti-avortement, lors d'une interview télévisée, accordée dimanche à la chaîne CBS.
Projet de loi bloquant les fonds accordés au planning familial
Un président anti-avortement donc, qui a choisi un vice-président dans la même veine. C'est en mars 2016, que le gouverneur de l'Indiana, futur vice-président des États-Unis, Mike Pence, avait proposé un projet de loi bloquant les fonds accordés au planning familial, tout en se battant pour restreindre le droit à l'avortement. Une position soutenue par Donald Trump.
"Pas de financements du planning familial tant que le droit à l'avortement ne sera pas aboli", avait-il déclaré.
Alors, sur Twitter, les femmes se mobilisent. Car, en plus de ces propos, Donald Trump avait annoncé, pendant sa campagne, vouloir revenir sur l'Obamacare. Depuis, il a un peu assoupli sa position.
Un stérilet coûte en moyenne 1.000 dollars
Ce programme, mis en place par Barack Obama, a permis à 22 millions d'Américains d'avoir une assurance maladie. Cela leur permet d'être remboursé des frais de santé, souvent exorbitants.
Par exemple, à ce jour, aux Etats-Unis, un stérilet coûte en moyenne 1.000 dollars sans assurance et une pilule 50 dollars par mois. Un coût beaucoup trop important pour nombre de femmes.
Alors, par crainte de l'après 20 janvier, jour de l'investiture de Donald Trump à la Maison-Blanche, les femmes s'encouragent aussi les unes les autres à en apprendre davantage sur les méthodes de contraception, et notamment sur le stérilet.
bfmtv.com
Projet de loi bloquant les fonds accordés au planning familial
Un président anti-avortement donc, qui a choisi un vice-président dans la même veine. C'est en mars 2016, que le gouverneur de l'Indiana, futur vice-président des États-Unis, Mike Pence, avait proposé un projet de loi bloquant les fonds accordés au planning familial, tout en se battant pour restreindre le droit à l'avortement. Une position soutenue par Donald Trump.
"Pas de financements du planning familial tant que le droit à l'avortement ne sera pas aboli", avait-il déclaré.
Alors, sur Twitter, les femmes se mobilisent. Car, en plus de ces propos, Donald Trump avait annoncé, pendant sa campagne, vouloir revenir sur l'Obamacare. Depuis, il a un peu assoupli sa position.
Un stérilet coûte en moyenne 1.000 dollars
Ce programme, mis en place par Barack Obama, a permis à 22 millions d'Américains d'avoir une assurance maladie. Cela leur permet d'être remboursé des frais de santé, souvent exorbitants.
Par exemple, à ce jour, aux Etats-Unis, un stérilet coûte en moyenne 1.000 dollars sans assurance et une pilule 50 dollars par mois. Un coût beaucoup trop important pour nombre de femmes.
Alors, par crainte de l'après 20 janvier, jour de l'investiture de Donald Trump à la Maison-Blanche, les femmes s'encouragent aussi les unes les autres à en apprendre davantage sur les méthodes de contraception, et notamment sur le stérilet.
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