«Pour ce qui concerne la hausse généralisée des denrées de consommation courante, j’avais assimilé ces mesures à des éléphants blancs, car elles étaient statiques et ne pouvaient en aucune manière, induire une baisse des prix des denrées de première nécessité. L’histoire nous a donné encore une fois raison.
Contrairement à la baisse annoncée, nous assistons aujourd’hui à une hausse considérable et injustifiée des prix du carburant, qui va avoir pour effets immédiats, l’augmentation du prix de l’électricité et des tarifs du transport.
Notre pays vient aussi de connaitre deux accidents tragiques de la circulation, qui se sont soldés par un bilan très lourd d’une soixantaine de décès.
Le gouvernement du Président Macky Sall, encore dans l’émotion et la précipitation, a pris vingt-trois (23) mesures qui sont loin de régler la lancinante question de la sécurité routière», a fait savoir Malick Gackou, lors de sa conférence de presse.
Évoquant la publication du rapport de la Cour des Comptes sur la gestion des fonds de la COVID 19, le président du Gp soutient, que ce scandale montre à suffisance, le manque de patriotisme et la cupidité du régime en place. «Ils doivent payer pour ces crimes commis. Nous attendons, conformément aux recommandations des auditeurs, que la justice se saisisse du dossier et que les coupables soient sévèrement punis, car d’autres ont été condamnés pour moins que ça», a-t-il exigé. Le dernier point de son propos est relatif à la lancinante question de la candidature du Président Macky sall à l’élection présidentielle de 2024.
Pour Malick Gackou, une telle candidature est à tous points de vue juridiquement, moralement et politiquement, indéfendable. «Juridiquement, la lettre de l’article 27 de notre Charte fondamentale est on ne peut plus claire. Même si certains esprits malveillants veulent faire persister des doutes, ou pourrait recourir, le cas échéant, à l’esprit de l’article et faire ‘’éclairer la loi par l’histoire’’, comme le disait Montesquieu dans son ouvrage "L’esprit des lois".
Politiquement et moralement, la thèse d’une possibilité d’une troisième candidate ne peut pas prospérer, pour la bonne et simple et simple raison, que le président Macky Sall et ses affidés ont déclaré, urbi et orbi, que le mandat de 2019 était leur second et dernier mandat. Alors, ils n’ont qu’à respecter leur parole, ‘’gor ca wà x ja’’ et préparer la passation de pouvoir pour laisser les Sénégalais élire leur président en 2024», a-t-il lancé.
Contrairement à la baisse annoncée, nous assistons aujourd’hui à une hausse considérable et injustifiée des prix du carburant, qui va avoir pour effets immédiats, l’augmentation du prix de l’électricité et des tarifs du transport.
Notre pays vient aussi de connaitre deux accidents tragiques de la circulation, qui se sont soldés par un bilan très lourd d’une soixantaine de décès.
Le gouvernement du Président Macky Sall, encore dans l’émotion et la précipitation, a pris vingt-trois (23) mesures qui sont loin de régler la lancinante question de la sécurité routière», a fait savoir Malick Gackou, lors de sa conférence de presse.
Évoquant la publication du rapport de la Cour des Comptes sur la gestion des fonds de la COVID 19, le président du Gp soutient, que ce scandale montre à suffisance, le manque de patriotisme et la cupidité du régime en place. «Ils doivent payer pour ces crimes commis. Nous attendons, conformément aux recommandations des auditeurs, que la justice se saisisse du dossier et que les coupables soient sévèrement punis, car d’autres ont été condamnés pour moins que ça», a-t-il exigé. Le dernier point de son propos est relatif à la lancinante question de la candidature du Président Macky sall à l’élection présidentielle de 2024.
Pour Malick Gackou, une telle candidature est à tous points de vue juridiquement, moralement et politiquement, indéfendable. «Juridiquement, la lettre de l’article 27 de notre Charte fondamentale est on ne peut plus claire. Même si certains esprits malveillants veulent faire persister des doutes, ou pourrait recourir, le cas échéant, à l’esprit de l’article et faire ‘’éclairer la loi par l’histoire’’, comme le disait Montesquieu dans son ouvrage "L’esprit des lois".
Politiquement et moralement, la thèse d’une possibilité d’une troisième candidate ne peut pas prospérer, pour la bonne et simple et simple raison, que le président Macky Sall et ses affidés ont déclaré, urbi et orbi, que le mandat de 2019 était leur second et dernier mandat. Alors, ils n’ont qu’à respecter leur parole, ‘’gor ca wà x ja’’ et préparer la passation de pouvoir pour laisser les Sénégalais élire leur président en 2024», a-t-il lancé.