« Deux policiers ont été remis en liberté et trois autres restent placés en garde-à -vue mardi soir, dans le cadre d’une enquête sur la mort d’un jeune homme de 27 ans, Mohamed Bendriss, en marge des émeutes début juillet à Marseille », a annoncé le parquet. « La remise en liberté par le magistrat instructeur de deux policiers placés en garde à vue, est confirmée », a indiqué dans un communiqué, mardi soir, la procureure de la République de Marseille, Dominique Laurens, ajoutant que « les gardes-à -vue des trois autres policiers sont maintenues ». Elle n’a donné aucune autre précision.
Les cinq policiers du Raid, une unité d’élite, avaient été placés en garde-à -vue dans la matinée, dans le cadre d’une enquête sur la mort de Mohamed Bendriss, survenue dans la nuit du 1er au 2 juillet à Marseille. Mohamed Bendriss est le seul mort recensé à ce jour, en marge des violences urbaines déclenchées dans plusieurs villes de France et sur plusieurs jours à la suite du décès du jeune Nahel, tué par un policier lors d’un contrôle routier à Nanterre, fin juin. Il a probablement été atteint par un tir de flash-ball, avait estimé le parquet en juillet.
Les cinq policiers du Raid, une unité d’élite, avaient été placés en garde-à -vue dans la matinée, dans le cadre d’une enquête sur la mort de Mohamed Bendriss, survenue dans la nuit du 1er au 2 juillet à Marseille. Mohamed Bendriss est le seul mort recensé à ce jour, en marge des violences urbaines déclenchées dans plusieurs villes de France et sur plusieurs jours à la suite du décès du jeune Nahel, tué par un policier lors d’un contrôle routier à Nanterre, fin juin. Il a probablement été atteint par un tir de flash-ball, avait estimé le parquet en juillet.