Les journalistes et techniciens du group Excaf télécom ont tenu, hier, à la place du sit-in annoncé pour réclamer le paiement de trois mois d’arriérés de salaire, une Assemblée générale d’information. Car, les responsables de la section Synpics de l’entreprise ont rencontré la Direction générale, mercredi, et celle-ci a donné des garanties fermes pour éponger l’ardoise. « Depuis la semaine derrière, on avait prévu de faire ce sit-in aujourd’hui (hier). Mercredi, on a eu des négociations avec la direction. On a trouvé un accord sur le paiement des trois mois avant la fin du mois », renseigne Seydou Diallo, secrétaire général du Synpics d’Excaf télécom.
Les deux parties devaient parapher, hier, dans les locaux de l’entreprise, en présence du secrétairerie général du Synpics, Ibrahima Khaliloulah Ndiaye, un protocole d’accord. « Ce protocole d’accord va nous servir de preuve. Parce que Sidy Diagne n’a jamais tenu ses promesses. Nous sommes au mois de Ramadan. C’est difficile de ne pas disposer de son salaire durant ce mois », souligne M. Diallo.
Soutenant que le rassemblement d’hier est « un avertissement », les employés d’Excaf soutiennent que d’autres points de leur plateforme sont en suspens. Ils exigent le renouvellement et la signature de contrats pour leurs collègues. Bien qu’ils pensent que la lourdeur de l’investissement de la Tnt soit à l’origine de ces problèmes, les travailleurs ne comptent pas baisser la garde. Ils demandent en outre un appui de l’Etat pour alléger l’entreprise.
Les deux parties devaient parapher, hier, dans les locaux de l’entreprise, en présence du secrétairerie général du Synpics, Ibrahima Khaliloulah Ndiaye, un protocole d’accord. « Ce protocole d’accord va nous servir de preuve. Parce que Sidy Diagne n’a jamais tenu ses promesses. Nous sommes au mois de Ramadan. C’est difficile de ne pas disposer de son salaire durant ce mois », souligne M. Diallo.
Soutenant que le rassemblement d’hier est « un avertissement », les employés d’Excaf soutiennent que d’autres points de leur plateforme sont en suspens. Ils exigent le renouvellement et la signature de contrats pour leurs collègues. Bien qu’ils pensent que la lourdeur de l’investissement de la Tnt soit à l’origine de ces problèmes, les travailleurs ne comptent pas baisser la garde. Ils demandent en outre un appui de l’Etat pour alléger l’entreprise.