interpellé tôt le matin du 18 novembre, à l’Aéroport Roissy-Charles de Gaulle, deux après son arrestation suivie de son audition, l’homme d’affaires gabono-malien Seydou Kane a été présenté devant un juge, indique la lettre du contient dans sa sortie du 20 novembre.
En effet, l’homme d’affaires sénégalo-malien naturalisé gabonais avait été cité dans l’enquête pour corruption d’agent public l’étranger impliquant Maixent Accrombessi, l’actuel Directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba.
L’enquête menée par l’Office central de lutte contre la corruption et des infractions financières et fiscales, avait permis d’interpeller Maixent Accrombessi le 3 août dernier et l’avait placé en garde à vue à Nanterre par la police judiciaire avant d’être remis en liberté en fin d’après-midi, suite une intervention de Libreville.
Seydou Kane, un entrepreneur très proche du palais présidentiel est un associé de M Accrombessi a quant lui été interpellé à Paris puis placé devant un juge.
Selon l’enquête menée par l’Office central de lutte contre la corruption et des infractions financières et fiscales, reproche à Accrombessi et compagnie d’avoir reçu en 2006 six virements du groupe Marck d’environ 2 millions d’euro.
En effet, l’homme d’affaires sénégalo-malien naturalisé gabonais avait été cité dans l’enquête pour corruption d’agent public l’étranger impliquant Maixent Accrombessi, l’actuel Directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba.
L’enquête menée par l’Office central de lutte contre la corruption et des infractions financières et fiscales, avait permis d’interpeller Maixent Accrombessi le 3 août dernier et l’avait placé en garde à vue à Nanterre par la police judiciaire avant d’être remis en liberté en fin d’après-midi, suite une intervention de Libreville.
Seydou Kane, un entrepreneur très proche du palais présidentiel est un associé de M Accrombessi a quant lui été interpellé à Paris puis placé devant un juge.
Selon l’enquête menée par l’Office central de lutte contre la corruption et des infractions financières et fiscales, reproche à Accrombessi et compagnie d’avoir reçu en 2006 six virements du groupe Marck d’environ 2 millions d’euro.