Il comparaissait, hier mardi, lui et son chauffeur devant le juge pour vol de tables-bancs commis la nuit avec usage de véhicule. Les mis en cause ont soutenu que les faits se sont déroulés vers 18 h, mais deux témoins entendus à l’enquête parlent de 21 h. Selon ces derniers, le 26 août, ils ont remarqué un taxi-bagages devant une école sise à Petit Mbao.
P. D. Camara a fait savoir qu’il dispense des cours comme répétiteur. En passant devant l’école, il a vu des tables en fer abandonnées à l’extérieur. C’était de la carcasse. Il s’est dit qu’il pouvait récupérer la ferraille, les faire souder et les utiliser pour ses élèves. Il a payé 15 000 FCfa pour le transport de Petit Mbao à Grand Mbao, rapporte « Le Soleil ».
Ainsi, le prévenu Camara a fait son mea culpa. Quant à Sène, il a nié avoir pris part au vol. Il a déclaré ignorer l’origine illicite des tables-bancs et n’a pas aidé Camara dans la commission des faits. Le représentant du Procureur a requis l’application de la loi pénale.
Le Tribunal a condamné P. D. Camara à six mois assortis du sursis pour vol simple. Avant ce verdict, étant donné qu’il n’avait pas de conseil, le Tribunal a donné la parole à l’enseignant qui a demandé pardon avant d’ajouter que malade, il a été extrait du pavillon spécial pour être jugé.
Rewm
P. D. Camara a fait savoir qu’il dispense des cours comme répétiteur. En passant devant l’école, il a vu des tables en fer abandonnées à l’extérieur. C’était de la carcasse. Il s’est dit qu’il pouvait récupérer la ferraille, les faire souder et les utiliser pour ses élèves. Il a payé 15 000 FCfa pour le transport de Petit Mbao à Grand Mbao, rapporte « Le Soleil ».
Ainsi, le prévenu Camara a fait son mea culpa. Quant à Sène, il a nié avoir pris part au vol. Il a déclaré ignorer l’origine illicite des tables-bancs et n’a pas aidé Camara dans la commission des faits. Le représentant du Procureur a requis l’application de la loi pénale.
Le Tribunal a condamné P. D. Camara à six mois assortis du sursis pour vol simple. Avant ce verdict, étant donné qu’il n’avait pas de conseil, le Tribunal a donné la parole à l’enseignant qui a demandé pardon avant d’ajouter que malade, il a été extrait du pavillon spécial pour être jugé.
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