« Notre camarade a été arrêté le 15 mars dernier, à la fin d’une marche dûment déclarée et autorisée par l’autorité, Tivaouane », note les membres du Secrétariat exécutif national (SEN) du FRAPP, qui remarquent que « Finalement, même la participation à une marche déclarée, autorisée et encadrée peut valoir les affres de la garde à vue et une condamnation ».
Et de poursuivre : « Voilà où en est l’état des libertés et de la démocratie au Sénégal, par l’entêtement de Macky Sall dans son projet de troisième candidature illégale et illégitime et d’élimination de son principal opposant. Toutes les familles sénégalaises et toutes les corporations se trouvent aujourd’hui affectées de près ou de loin par cette violence arbitraire exercée par Macky Sall, avec plus de 600 de leurs membres torturés, emprisonnés, traqués ou grièvement blessés ».
Le FRAPP s’insurge énergiquement contre « cette utilisation des ressources publiques et cette instrumentalisation de l’institution judiciaire par Macky Sall pour réduire au silence, traquer, torturer et garder arbitrairement en détention des centaines de sénégalais qui exercent le droit de résistance consacré par la constitution qui en fait même un devoir citoyen ».
Aussi d’interpeller les organisations nationales et internationales de défense des droits de l’homme et des libertés sur « la situation au Sénégal où la force et l’arbitraire ont fini de se substituer à la loi ».
Avant d’inviter tous les démocrates et tous les défenseurs des droits et des libertés à « se mobiliser promptement autour d’une synergie d’actions concrètes pour arrêter le monstre, pour sauvegarder la démocratie et les libertés ».
Le Témoin
Et de poursuivre : « Voilà où en est l’état des libertés et de la démocratie au Sénégal, par l’entêtement de Macky Sall dans son projet de troisième candidature illégale et illégitime et d’élimination de son principal opposant. Toutes les familles sénégalaises et toutes les corporations se trouvent aujourd’hui affectées de près ou de loin par cette violence arbitraire exercée par Macky Sall, avec plus de 600 de leurs membres torturés, emprisonnés, traqués ou grièvement blessés ».
Le FRAPP s’insurge énergiquement contre « cette utilisation des ressources publiques et cette instrumentalisation de l’institution judiciaire par Macky Sall pour réduire au silence, traquer, torturer et garder arbitrairement en détention des centaines de sénégalais qui exercent le droit de résistance consacré par la constitution qui en fait même un devoir citoyen ».
Aussi d’interpeller les organisations nationales et internationales de défense des droits de l’homme et des libertés sur « la situation au Sénégal où la force et l’arbitraire ont fini de se substituer à la loi ».
Avant d’inviter tous les démocrates et tous les défenseurs des droits et des libertés à « se mobiliser promptement autour d’une synergie d’actions concrètes pour arrêter le monstre, pour sauvegarder la démocratie et les libertés ».
Le Témoin