L’histoire retiendra un jour que c’est sous le magistère du Président Macky Sall que la belle et mythique ancienne capitale de l’Aof Dakar s’est transformée anarchiquement en…Jakarta. Une marque de motocyclettes fabriquée à « Jakarta » ou la capitale de l’Indonésie, constate LeTémoin.
Autoproclamés intouchables, les motos-taxis ou taxis-Jakarta ont fini par s’imposer à Dakar jusqu’à créer un drôle de secteur de transport artisanal. Une impunité qui a incité d’autres jeunes moto-taximen de Thiès, de Kaolack et de Fatick à rallier Dakar. Dans les carrefours comme dans les points stratégiques et autres espaces publics(Port, Abris-bus, supermarchés, hôpitaux etc.), sans compter les grands axes routiers bien sûr, les motos-taxis dictent leur loi. Bref, difficile de circuler dans la capitale aujourd’hui sans croiser ou frôler un une moto taxi.
L’Etat a tellement laissé pourrir la situation des « Jakarta » et les motos-taxis qu’ils font désormais partie du paysage dakarois. Une prolifération qui dépasse les forces de l’ordre (policiers et gendarmes). Et si les autorités ne prennent pas des mesures draconiennes pour limiter ce désordre urbain, le pire est à venir ! Pendant ce temps, les charrettes du candidat à la mairie de Dakar Barthelemy Dias continuent toujours de disputer la priorité aux automobilistes. Alors que Barth avait juré que, dès qu’il serait maire de Dakar, aucune charrette n’allait plus y circuler à Dakar. Il est vrai que les promesses électorales n’engagent que ceux qui y croient.
Autoproclamés intouchables, les motos-taxis ou taxis-Jakarta ont fini par s’imposer à Dakar jusqu’à créer un drôle de secteur de transport artisanal. Une impunité qui a incité d’autres jeunes moto-taximen de Thiès, de Kaolack et de Fatick à rallier Dakar. Dans les carrefours comme dans les points stratégiques et autres espaces publics(Port, Abris-bus, supermarchés, hôpitaux etc.), sans compter les grands axes routiers bien sûr, les motos-taxis dictent leur loi. Bref, difficile de circuler dans la capitale aujourd’hui sans croiser ou frôler un une moto taxi.
L’Etat a tellement laissé pourrir la situation des « Jakarta » et les motos-taxis qu’ils font désormais partie du paysage dakarois. Une prolifération qui dépasse les forces de l’ordre (policiers et gendarmes). Et si les autorités ne prennent pas des mesures draconiennes pour limiter ce désordre urbain, le pire est à venir ! Pendant ce temps, les charrettes du candidat à la mairie de Dakar Barthelemy Dias continuent toujours de disputer la priorité aux automobilistes. Alors que Barth avait juré que, dès qu’il serait maire de Dakar, aucune charrette n’allait plus y circuler à Dakar. Il est vrai que les promesses électorales n’engagent que ceux qui y croient.