La préservation de l’environnement reste un défi dans notre pays. Après la vidange, les boues sont souvent jetées, causant d’énormes problèmes de santé publique aux populations. Pourtant, cette boue peut être recyclée au profit des populations. A cet effet, l’ambassade du Luxembourg, GGGI et Onas, ont mis en place un projet qui transforme les boues de vidange en énergie, relate "L'As".
A l’occasion d’une visite à la station de boue de vidange à Tivaouane, Dr. Bécaye Sidy Diop, directeur de Delvic (l’entreprise qui exploite la station), estime que les stations de traitement de boues de vidange devaient évoluer vers des stations de valorisation des boues de vidange. «Ce projet est très important, car pour la 1ère fois au Sénégal et dans beaucoup de pays africains, on trouve une unité ou un endroit prévu pour la valorisation des boues de vidange. C’est très important et ce projet a permis de réhabiliter tout le système de pompage et de séchage des boues», soutient-il, avant d’ajouter que c’est un élément important et déterminant pour une bonne exploitation d’une station de ce type.
«Et enfin, ce projet s’intéresse à l’écologie en termes d’énergie solaire parce qu’aujourd’hui, 65% de nos besoins sont satisfaits en besoin solaire par un système solaire sans batterie, en plus, au fil du soleil qui ne produit pas de batterie polluante en fin de vie et de réduire notre consommation énergétique de 65%», soutient-il.
A l’en croire, c’est un projet qui doit servir d’exemple pour toutes les autres stations de ce type au Sénégal et en Afrique ; «donc l’Onas, GGGI et le Grand Duché de Luxembourg viennent de faire un pas très important, notamment passer du traitement vers la valorisation des boues de vidange».
Pour sa part, le chef de coopération à l’ambassade du Luxembourg, Tania Martins, souligne qu’elle est satisfaite de voir comment les boues de vidange ont été valorisées à l’intérieur de la station. «C’est un projet financé par le gouvernement luxembourgeois pour un montant de 3 millions d’euros. C’est un projet pilote, qui pourra donner de la matière pour des projets basés sur le même modèle, comme valoriser les déchets, c’est-à -dire comment les transformer. C’est un projet qui pourrait être répliqué dans d’autres régions et villes secondaires du Sénégal», promet-elle.
A l’occasion d’une visite à la station de boue de vidange à Tivaouane, Dr. Bécaye Sidy Diop, directeur de Delvic (l’entreprise qui exploite la station), estime que les stations de traitement de boues de vidange devaient évoluer vers des stations de valorisation des boues de vidange. «Ce projet est très important, car pour la 1ère fois au Sénégal et dans beaucoup de pays africains, on trouve une unité ou un endroit prévu pour la valorisation des boues de vidange. C’est très important et ce projet a permis de réhabiliter tout le système de pompage et de séchage des boues», soutient-il, avant d’ajouter que c’est un élément important et déterminant pour une bonne exploitation d’une station de ce type.
«Et enfin, ce projet s’intéresse à l’écologie en termes d’énergie solaire parce qu’aujourd’hui, 65% de nos besoins sont satisfaits en besoin solaire par un système solaire sans batterie, en plus, au fil du soleil qui ne produit pas de batterie polluante en fin de vie et de réduire notre consommation énergétique de 65%», soutient-il.
A l’en croire, c’est un projet qui doit servir d’exemple pour toutes les autres stations de ce type au Sénégal et en Afrique ; «donc l’Onas, GGGI et le Grand Duché de Luxembourg viennent de faire un pas très important, notamment passer du traitement vers la valorisation des boues de vidange».
Pour sa part, le chef de coopération à l’ambassade du Luxembourg, Tania Martins, souligne qu’elle est satisfaite de voir comment les boues de vidange ont été valorisées à l’intérieur de la station. «C’est un projet financé par le gouvernement luxembourgeois pour un montant de 3 millions d’euros. C’est un projet pilote, qui pourra donner de la matière pour des projets basés sur le même modèle, comme valoriser les déchets, c’est-à -dire comment les transformer. C’est un projet qui pourrait être répliqué dans d’autres régions et villes secondaires du Sénégal», promet-elle.