Allant des cas de multitudes retours de parquet non légales, jusqu’à leur incarcération en prison, entassés comme des sardines dans les geôles de prison, l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié condamne jusqu’à la dernière énergie, ces actes répressifs et odieux qui sapent la dignité humaine.
Sur cette même lancée, ADHA s’interroge sur la question du respect de la loi, conformément aux droits fondamentaux des personnes privées de liberté et au Code de déontologie des forces de défense et de sécurité de 2014, qui est aussi valable pour les gardes pénitentiaires.
Action pour les Droits Humains et l’Amitié demande au procureur de la République, de s’autosaisir de ces dossiers, ainsi que les organisations de défense de droits humains, afin que de tels faits ne se reproduisent.
ADHA demande que toute la lumière soit faite, les responsabilités situées et les sanctions appliquées, en toute rigueur et en toute impartialité, conformément aux dispositions de notre Code Pénal.
ADHA reste préoccupée de l’état de santé de ces détenus libérés et demande aux autorités, un suivi psychologique et financier permettant leur responsabilité dans la société.
Action pour les Droits Humains et l’Amitié procédera bientôt au lancement d’une campagne d’évaluation globale de la situation des prisons au Sénégal. Cette campagne visera à s’informer sur la situation et les conditions de chaque prisonnier.
Fait à Dakar, 19 février 2024
Le Bureau Exécutif de l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA)
Sur cette même lancée, ADHA s’interroge sur la question du respect de la loi, conformément aux droits fondamentaux des personnes privées de liberté et au Code de déontologie des forces de défense et de sécurité de 2014, qui est aussi valable pour les gardes pénitentiaires.
Action pour les Droits Humains et l’Amitié demande au procureur de la République, de s’autosaisir de ces dossiers, ainsi que les organisations de défense de droits humains, afin que de tels faits ne se reproduisent.
ADHA demande que toute la lumière soit faite, les responsabilités situées et les sanctions appliquées, en toute rigueur et en toute impartialité, conformément aux dispositions de notre Code Pénal.
ADHA reste préoccupée de l’état de santé de ces détenus libérés et demande aux autorités, un suivi psychologique et financier permettant leur responsabilité dans la société.
Action pour les Droits Humains et l’Amitié procédera bientôt au lancement d’une campagne d’évaluation globale de la situation des prisons au Sénégal. Cette campagne visera à s’informer sur la situation et les conditions de chaque prisonnier.
Fait à Dakar, 19 février 2024
Le Bureau Exécutif de l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA)