«C’est grâce à nos activités sur le terrain que nous avons retiré ces filles victimes de l’esclavage sexuel dans les sites d’orpaillage, pour les retourner définitivement à leurs familles d’origine», a expliqué Aliou Bakhoum, chef d’antenne de l’Ong La lumière, en présence du chef de service régional de l’Aemo et du Commissaire de Police de Kédougou.
L’Ong dispose d’un Centre d’accueil d’urgence et de réinsertion sociale pour la prise en charge des filles victimes de traite. «Ces victimes de traite avaient besoin de protection. Nous les avons logées et nourries. Et une équipe pluridisciplinaire les a bien accueillies au centre», a-t-il dit.
Selon Aliou Bakhoum, les comités de vigilance communautaire (Cvc) ont joué un grand rôle dans la sensibilisation sur les cas de filles nigérianes exploitées dans les villages aurifères de Kédougou.
L’Ong dispose d’un Centre d’accueil d’urgence et de réinsertion sociale pour la prise en charge des filles victimes de traite. «Ces victimes de traite avaient besoin de protection. Nous les avons logées et nourries. Et une équipe pluridisciplinaire les a bien accueillies au centre», a-t-il dit.
Selon Aliou Bakhoum, les comités de vigilance communautaire (Cvc) ont joué un grand rôle dans la sensibilisation sur les cas de filles nigérianes exploitées dans les villages aurifères de Kédougou.