Comme pour corroborer son propos, il s'approprie le domaine particulier de l’éducation pour en disséquer les tares :
« Je n'en veux pour exemple que dans le domaine de l'enseignement supérieur. En lieu et place d'une université digne de la dimension spirituelle et de la sociologie de la région, on a érigé un centre où des étudiants venus d’ailleurs se sentent à l'étroit faute de ne pas pouvoir se loger décemment. Une université digne de Diourbel aurait dû être pourvue de logements adéquats susceptibles d'avoir des répercussions positives sur les résultats scolaires.
Cette vision claire que nous avons de l'enseignement supérieur détermine mon postulat pour le développement de l'éducation de notre pays"
l’importance de l'éducation dont on dit qu'elle est l'arme plus redoutable pour un changement positif du monde n'a pas occulté la préoccupation majeure du candidat Diao pour la jeunesse de Diourbel :
« Comme dans toutes les régions du Sénégal. On a comme l'impression que le seul métier existant ici est la conduite des Jakarta. C'est certes un métier loin d'être sot mais il gagnerait à être organisé pour répondre aux préoccupations aussi bien des usagers que des conducteurs eux-mêmes ».
Tribune
« Je n'en veux pour exemple que dans le domaine de l'enseignement supérieur. En lieu et place d'une université digne de la dimension spirituelle et de la sociologie de la région, on a érigé un centre où des étudiants venus d’ailleurs se sentent à l'étroit faute de ne pas pouvoir se loger décemment. Une université digne de Diourbel aurait dû être pourvue de logements adéquats susceptibles d'avoir des répercussions positives sur les résultats scolaires.
Cette vision claire que nous avons de l'enseignement supérieur détermine mon postulat pour le développement de l'éducation de notre pays"
l’importance de l'éducation dont on dit qu'elle est l'arme plus redoutable pour un changement positif du monde n'a pas occulté la préoccupation majeure du candidat Diao pour la jeunesse de Diourbel :
« Comme dans toutes les régions du Sénégal. On a comme l'impression que le seul métier existant ici est la conduite des Jakarta. C'est certes un métier loin d'être sot mais il gagnerait à être organisé pour répondre aux préoccupations aussi bien des usagers que des conducteurs eux-mêmes ».
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