Pour autant, elle pense que ses détracteurs perdent leur temps. « Je tiens à clarifier les choses ; si d’aucuns pensent me faire quitter le Parti par l’ostracisme et la censure, ils perdent leur temps. Les allégations de toutes sortes, les bassesses, la mauvaise foi, et même me priver de mes droits les plus élémentaires que me confère un poste de ministre-conseiller, ne peuvent pas me faire quitter le Parti » », s’est voulue très claire, Zahra Iyane Thiam, décidée à rester dans le Parti pour se battre.
Visiblement touchée dans son honneur par de telles pratiques, elle note dans les colonnes du journal Vox Populi: "si les femmes du Parti sont juste considérées comme des punching-balls par certains zélés, l'on comprend toutes les misères qu'on fait subir à notre soeur Mimi Touré".
« Tant qu’ils auront de l’énergie à gaspiller dans des considérations juvéniles, ils peuvent le faire. Le plus important aujourd’hui, c’est qu’ils fassent bien leur travail. Ce ne serait pas de leur volonté si je venais à quitter le Parti. Ce serait une décision personnelle », a-t-elle averti.
Elle tient, d’ailleurs, à préciser qu’elle n’est pas concernée par ce qui a été dit. « Je déplore ces propos qui n’engagent que ceux les ont rapportés. En tant que responsable, s’abaisser à des considérations puériles, c’est être inconscient de la solennité des instances, de l’énormité, non seulement des enjeux qui nous attendent, mais également du privilège de siéger à de hautes instances », a –t-elle indiqué.
« Ce qui me hérisse par-dessus tout, c’est que pour une fois qu’on a un SEN hautement politique, qu’ils n’en saisissent pas la quintessence. J’ai toujours respecté autant que faire se peut l’opinion des personnes et je n’ai jamais voulu polémiquer. Je considère les membres du SEN comme des camarades de Parti », a-t-elle ajouté.
Visiblement touchée dans son honneur par de telles pratiques, elle note dans les colonnes du journal Vox Populi: "si les femmes du Parti sont juste considérées comme des punching-balls par certains zélés, l'on comprend toutes les misères qu'on fait subir à notre soeur Mimi Touré".
« Tant qu’ils auront de l’énergie à gaspiller dans des considérations juvéniles, ils peuvent le faire. Le plus important aujourd’hui, c’est qu’ils fassent bien leur travail. Ce ne serait pas de leur volonté si je venais à quitter le Parti. Ce serait une décision personnelle », a-t-elle averti.
Elle tient, d’ailleurs, à préciser qu’elle n’est pas concernée par ce qui a été dit. « Je déplore ces propos qui n’engagent que ceux les ont rapportés. En tant que responsable, s’abaisser à des considérations puériles, c’est être inconscient de la solennité des instances, de l’énormité, non seulement des enjeux qui nous attendent, mais également du privilège de siéger à de hautes instances », a –t-elle indiqué.
« Ce qui me hérisse par-dessus tout, c’est que pour une fois qu’on a un SEN hautement politique, qu’ils n’en saisissent pas la quintessence. J’ai toujours respecté autant que faire se peut l’opinion des personnes et je n’ai jamais voulu polémiquer. Je considère les membres du SEN comme des camarades de Parti », a-t-elle ajouté.