Les artisans, notamment les tailleurs de Touba et de Mbacké, ne dorment plus que d’un seul œil, ce, à quelques heures seulement de la fête du mouton. En effet, contrairement à l’année dernière où on avait observé un bon approvisionnement en électricité, cette fois-ci, les coupures intempestives refont surface, plongeant les tailleurs dans l’inquiétude.
« Cette année, notre plus grande inquiétude reste les coupures intempestives. Nous sommes obligés de louer des groupes électrogènes pour parer à toute éventualité. Ce qui va nous couter très cher à cause du prix du carburant », s’est inquiété Sidy Ndiaye, tailleur à Mbacké. Se prononçant sur leurs commandes, le tailleur de dire: »pour l’heure, notre seul souci est de faire de notre mieux pour écouler les produits avant le jour de la Tabaski, tout en satisfaisant nos clients qui ont confiance en nous ».
Au marché « Ocass » de Touba, les tailleurs, concentrés sur leurs machines, s’attellent à rendre leurs commandes à temps au grand bonheur de leurs clients. Par ailleurs, il convient de signaler que certain clients, à défaut de faire confectionner des tenues chez les tailleurs, se ruent vers les vendeurs de prêt-à-porter pour se procurer un vêtement digne du jour de la fête de l’Aïd el Kébir communément appelé la fate de du mouton ou encore Tabaski.
Libération
« Cette année, notre plus grande inquiétude reste les coupures intempestives. Nous sommes obligés de louer des groupes électrogènes pour parer à toute éventualité. Ce qui va nous couter très cher à cause du prix du carburant », s’est inquiété Sidy Ndiaye, tailleur à Mbacké. Se prononçant sur leurs commandes, le tailleur de dire: »pour l’heure, notre seul souci est de faire de notre mieux pour écouler les produits avant le jour de la Tabaski, tout en satisfaisant nos clients qui ont confiance en nous ».
Au marché « Ocass » de Touba, les tailleurs, concentrés sur leurs machines, s’attellent à rendre leurs commandes à temps au grand bonheur de leurs clients. Par ailleurs, il convient de signaler que certain clients, à défaut de faire confectionner des tenues chez les tailleurs, se ruent vers les vendeurs de prêt-à-porter pour se procurer un vêtement digne du jour de la fête de l’Aïd el Kébir communément appelé la fate de du mouton ou encore Tabaski.
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