Les fortes précipitations qui se sont abattues sur Tivaouane ont mis à nu la vulnérabilité de la cité religieuse, en ce qui concerne les questions d’assainissement.
En effet, après chaque pluie, presque, plusieurs quartiers sont envahis par les eaux de ruissellement, notamment Djiddah, Keur Khaly, Kouly, etc., causant beaucoup de désagréments aux populations, au niveau de certains endroits de la ville où se déploient, souvent, les sapeurs pompiers pour procéder à l’évacuation des eaux avec des motopompes, mais la tâche est rendue très difficile par l’absence de déversoirs.
C’est dire que la cité religieuse est victime aujourd’hui de ce manque manifeste de réseau d’assainissement. L’acteur de la Société civile, qui alerte sur la question depuis 2016, estime qu’il est temps de mettre en place un système d’assainissement adéquat etfonctionnel, pour mettre définitivement un terme au calvaire des populations.
D’après lui, il urge que l’Etat, «en synergie avec les communautés religieuses, fasse de l’assainissement global (eaux pluviales et eaux usées), une priorité, voire même une urgence, pour venir en appoint aux communes qui abritent les cités religieuses, et qui n’ont pas les moyens de régler les problèmes d’assainissement de manière structurelle».
Avec Le Quotidien
En effet, après chaque pluie, presque, plusieurs quartiers sont envahis par les eaux de ruissellement, notamment Djiddah, Keur Khaly, Kouly, etc., causant beaucoup de désagréments aux populations, au niveau de certains endroits de la ville où se déploient, souvent, les sapeurs pompiers pour procéder à l’évacuation des eaux avec des motopompes, mais la tâche est rendue très difficile par l’absence de déversoirs.
C’est dire que la cité religieuse est victime aujourd’hui de ce manque manifeste de réseau d’assainissement. L’acteur de la Société civile, qui alerte sur la question depuis 2016, estime qu’il est temps de mettre en place un système d’assainissement adéquat etfonctionnel, pour mettre définitivement un terme au calvaire des populations.
D’après lui, il urge que l’Etat, «en synergie avec les communautés religieuses, fasse de l’assainissement global (eaux pluviales et eaux usées), une priorité, voire même une urgence, pour venir en appoint aux communes qui abritent les cités religieuses, et qui n’ont pas les moyens de régler les problèmes d’assainissement de manière structurelle».
Avec Le Quotidien