S’il est un citoyen autour duquel l’unanimité semble faite sur son attachement viscéral aux valeurs cardinales ancestrales qui fondent notre société, c’est bien Thione Ballgo Seck. Même ceux qui le portent moins en estime reconnaissent, dans le secret de leurs consciences, que notre compatriote Thione Ballagoo Seck, incarne nombre de ces rares qualités morales que nous ont léguées nos vaillants ancêtres, et qui font la marque de fabrique de l’homosenegalensis, tel qu’il est génériquement apprécié à travers le monde.
Ceux qui l’ont approché auront été unanimes à apprécier son entregent facile, le respect profond qu’il voue à la personne humaine, son sens de la famille, son amour de la patrie et la profonde vénération qu’il a toujours nourrie à l’égard des élites de toutes les confréries religieuses du pays. Sa foi en Dieu transparait dans tout ce qu’il dit et entreprend. Ne jurant surtout que par le Prophète Mouhamed (paix et salut sur lui). Auquel il voue un amour sans borne. Au point de lui avoir consacré une célèbre mélodie («Rassoul»), que JAMRA n’est pas prête d’oublier, pour avoir mis, pour les besoins du tournage de ce clip, à la disposition de Thione Ballago Seck, les locaux de «Addawa», la «daara» moderne de JAMRA, sise sur l’avenue Bourguiba.
Une création artistique fabuleuse, une composition musicale attendrissante, magnifiant la personne de Seydouna Mouhamed (psl), que nombre d’entre nous ne s’assouvissent à écouter religieusement ou à visionner inlassablement dans les réseaux sociaux, en particulier "YouTube". En peu de mots, escortés d’une mélodie orientale, Thione Ballago Seck nous y apprend, en six minutes cinquante-huit secondes, à mieux apprécier celui qu’Allah affuble du rare qualificatif de «Meilleure des Créatures». La seule, au demeurant, pouvant se targuer d’être dépositaire de ce Modèle de Perfection auquel le Tout-Puissant convie toutes ses créatures humaines, en leur enjoignant notamment de s’inspirer de l’exemple de «Imaamul Mursalîne» (l’Imam de tous les messagers).
Tout en m’interdisant de me prononcer sur les faits que la Justice impute à Thione, j’ai cru devoir m’acquitter d’un cas de conscience en exprimant ce témoignage sur ce grand patriote, honorable concitoyen que je n’ai pas eu - autant que l’avait le défunt président-fondateur de JAMRA, le député Abdou Latif Guèye -, la chance de pratiquer avec mitoyenneté. Thione Ballago Seck pourra confirmer que c’est surtout depuis que Latif a eu à décliner courtoisement, par modestie, une généreuse ritournelle que Thione projetait de composer en son honneur, que les deux hommes - qui s’étaient toujours voués une admiration réciproque -, se sont liés d’amitié pour de bon. Jusqu’à ce le Destin les sépare.
Latif Guèye admirait Thione Seck (son cousin à plaisanterie !) surtout pour son répertoire musical, généralement enchâssé de thématiques hautement morales, exhortant au travail, au respect de la personne humaine, vantant les mérites de la fidélité conjugale, du respect du aux ascendants, magnifiant les vertus, bien sénégalaises, de «jom» (dignité), de «fulla» (détermination) de «faïda» (fierté), de «fit» (audace). Aussi, ce fut sans se formaliser outre mesure, et même de cœur joie, que JAMRA avait accueilli l’équipe de tournage de «Rassoul», qui offrit l’opportunité aux deux chantres du Prophète (Thione et Latif) de s’apprécier d’avantage !
Au-delà du tumulte suscité par ce qui se décline aujourd’hui sur quasiment tous les tabloïdes comme l’«affaire Thione Seck», j’ai estimé devoir m’immiscer dans cette séquence temporelle, où la Loi confère toujours au citoyen Thione Ballgo Seck le précieux statut de «présumé innocent», pour porter ce témoignage. Non pas sur le «justiciable», encore une fois, mais sur l’«homme». Qui n’aura du reste jamais démérité, en ayant toujours à cœur de véhiculer généreusement et inlassablement des messages forts et profonds, qui auront indéniablement contribué à inculquer, tout en divertissant, des valeurs inestimables à de nombreuses franges sensibles de notre société, souvent en manque de repères.
Qu’Allah couvre Thione de Son Manteau de «Sutura», pour l’amour de celui que Ballago n’avait de cesse de glorifier : Seydouna Mouhamed !
Mame Mactar Guèye
Secrétaire général RDS
Vice-président Jamra
mamemactar@yahoo.fr
Ceux qui l’ont approché auront été unanimes à apprécier son entregent facile, le respect profond qu’il voue à la personne humaine, son sens de la famille, son amour de la patrie et la profonde vénération qu’il a toujours nourrie à l’égard des élites de toutes les confréries religieuses du pays. Sa foi en Dieu transparait dans tout ce qu’il dit et entreprend. Ne jurant surtout que par le Prophète Mouhamed (paix et salut sur lui). Auquel il voue un amour sans borne. Au point de lui avoir consacré une célèbre mélodie («Rassoul»), que JAMRA n’est pas prête d’oublier, pour avoir mis, pour les besoins du tournage de ce clip, à la disposition de Thione Ballago Seck, les locaux de «Addawa», la «daara» moderne de JAMRA, sise sur l’avenue Bourguiba.
Une création artistique fabuleuse, une composition musicale attendrissante, magnifiant la personne de Seydouna Mouhamed (psl), que nombre d’entre nous ne s’assouvissent à écouter religieusement ou à visionner inlassablement dans les réseaux sociaux, en particulier "YouTube". En peu de mots, escortés d’une mélodie orientale, Thione Ballago Seck nous y apprend, en six minutes cinquante-huit secondes, à mieux apprécier celui qu’Allah affuble du rare qualificatif de «Meilleure des Créatures». La seule, au demeurant, pouvant se targuer d’être dépositaire de ce Modèle de Perfection auquel le Tout-Puissant convie toutes ses créatures humaines, en leur enjoignant notamment de s’inspirer de l’exemple de «Imaamul Mursalîne» (l’Imam de tous les messagers).
Tout en m’interdisant de me prononcer sur les faits que la Justice impute à Thione, j’ai cru devoir m’acquitter d’un cas de conscience en exprimant ce témoignage sur ce grand patriote, honorable concitoyen que je n’ai pas eu - autant que l’avait le défunt président-fondateur de JAMRA, le député Abdou Latif Guèye -, la chance de pratiquer avec mitoyenneté. Thione Ballago Seck pourra confirmer que c’est surtout depuis que Latif a eu à décliner courtoisement, par modestie, une généreuse ritournelle que Thione projetait de composer en son honneur, que les deux hommes - qui s’étaient toujours voués une admiration réciproque -, se sont liés d’amitié pour de bon. Jusqu’à ce le Destin les sépare.
Latif Guèye admirait Thione Seck (son cousin à plaisanterie !) surtout pour son répertoire musical, généralement enchâssé de thématiques hautement morales, exhortant au travail, au respect de la personne humaine, vantant les mérites de la fidélité conjugale, du respect du aux ascendants, magnifiant les vertus, bien sénégalaises, de «jom» (dignité), de «fulla» (détermination) de «faïda» (fierté), de «fit» (audace). Aussi, ce fut sans se formaliser outre mesure, et même de cœur joie, que JAMRA avait accueilli l’équipe de tournage de «Rassoul», qui offrit l’opportunité aux deux chantres du Prophète (Thione et Latif) de s’apprécier d’avantage !
Au-delà du tumulte suscité par ce qui se décline aujourd’hui sur quasiment tous les tabloïdes comme l’«affaire Thione Seck», j’ai estimé devoir m’immiscer dans cette séquence temporelle, où la Loi confère toujours au citoyen Thione Ballgo Seck le précieux statut de «présumé innocent», pour porter ce témoignage. Non pas sur le «justiciable», encore une fois, mais sur l’«homme». Qui n’aura du reste jamais démérité, en ayant toujours à cœur de véhiculer généreusement et inlassablement des messages forts et profonds, qui auront indéniablement contribué à inculquer, tout en divertissant, des valeurs inestimables à de nombreuses franges sensibles de notre société, souvent en manque de repères.
Qu’Allah couvre Thione de Son Manteau de «Sutura», pour l’amour de celui que Ballago n’avait de cesse de glorifier : Seydouna Mouhamed !
Mame Mactar Guèye
Secrétaire général RDS
Vice-président Jamra
mamemactar@yahoo.fr