Les faits se sont passés entre 2005 et 2007. Plusieurs personnes parmi lesquelles le juge Malick Lamotte étaient victimes de braquages à leurs domiciles, à Mbour et à Thiès, par un groupe de trois individus armés d’un pistolet et d’une machette. Après une enquête rondement menée, les nommés Mansour Dionne dit Joe et Malick Ndiaye dit Makhété ont été interpellés.
Lors de son interrogatoire, Mansour Dionne alias Joe a reconnu avoir participé, en compagnie de Mangoné Kassé (en fuite) et de Malick Ndiaye, au braquage du domicile des nommés Josette Lukianoff et du président Malick Lamotte. Mansour Dionne alias Joe précisait que Mangoné Kassé localisait les lieux avant de les contacter. Il a ajouté que c’est Mangoné Kassé qui avait soustrait l’argent se trouvant dans l’armoire du président Malick Lamotte. Il a en outre soutenu avoir vendu à Colobane les ordinateurs soustraits au domicile de Josette Lukanioff. Quant aux bijoux de l’épouse du président Malick Lamotte, il les a écoulés à Sandaga. Pour les appareils photo, il a expliqué les avoir dérobés avec Mangoné Kassé. Et de déclarer être en mesure de conduire les enquêteurs jusqu’aux receleurs.
Interrogé à son tour, Malick Ndiaye alias Makhété, a abondé dans le même sens que son coaccusé Mansour Dionne.
Entendu, Malick Lamotte expliquait que dans la nuit du 1er au 2 mars 2007, aux environs de 4 heures du matin, trois individus armés s’étaient introduits à son domicile, au quartier Grand Mbour, en fracturant la porte du salon avant d’accéder dans sa chambre à coucher. Il précisait qu’au moment où il s’est aperçu de leur présence, ces agresseurs l’ont tenu en respect à l’aide d’un pistolet, avant d’emporter la somme de 2.000.000 F ainsi que les bijoux de sa femme et des téléphones portables. Il soutenait reconnaitre le nommé Malick Ndiaye dit Makhété, qui portait une machette, Mansour Dionne dit Joe qui fouillait les poches de sa veste pour y retirer de l’argent et Mansour Dione qui détenait l’arme à feu.
Malick Ndiaye ayant perdu la vie en prison, Mansour Dionne toujours en cavale, seuls Mangoné Kassé et Bakary Cissé ont été jugés de ces faits. A la barre, ils changé de fusil d’épaule, niant systématiquement l’accusation, en vain. Dans son réquisitoire, le procureur Assane Ngom a requis les travaux forcés à perpétuités.
Source : Les Echos
Lors de son interrogatoire, Mansour Dionne alias Joe a reconnu avoir participé, en compagnie de Mangoné Kassé (en fuite) et de Malick Ndiaye, au braquage du domicile des nommés Josette Lukianoff et du président Malick Lamotte. Mansour Dionne alias Joe précisait que Mangoné Kassé localisait les lieux avant de les contacter. Il a ajouté que c’est Mangoné Kassé qui avait soustrait l’argent se trouvant dans l’armoire du président Malick Lamotte. Il a en outre soutenu avoir vendu à Colobane les ordinateurs soustraits au domicile de Josette Lukanioff. Quant aux bijoux de l’épouse du président Malick Lamotte, il les a écoulés à Sandaga. Pour les appareils photo, il a expliqué les avoir dérobés avec Mangoné Kassé. Et de déclarer être en mesure de conduire les enquêteurs jusqu’aux receleurs.
Interrogé à son tour, Malick Ndiaye alias Makhété, a abondé dans le même sens que son coaccusé Mansour Dionne.
Entendu, Malick Lamotte expliquait que dans la nuit du 1er au 2 mars 2007, aux environs de 4 heures du matin, trois individus armés s’étaient introduits à son domicile, au quartier Grand Mbour, en fracturant la porte du salon avant d’accéder dans sa chambre à coucher. Il précisait qu’au moment où il s’est aperçu de leur présence, ces agresseurs l’ont tenu en respect à l’aide d’un pistolet, avant d’emporter la somme de 2.000.000 F ainsi que les bijoux de sa femme et des téléphones portables. Il soutenait reconnaitre le nommé Malick Ndiaye dit Makhété, qui portait une machette, Mansour Dionne dit Joe qui fouillait les poches de sa veste pour y retirer de l’argent et Mansour Dione qui détenait l’arme à feu.
Malick Ndiaye ayant perdu la vie en prison, Mansour Dionne toujours en cavale, seuls Mangoné Kassé et Bakary Cissé ont été jugés de ces faits. A la barre, ils changé de fusil d’épaule, niant systématiquement l’accusation, en vain. Dans son réquisitoire, le procureur Assane Ngom a requis les travaux forcés à perpétuités.
Source : Les Echos