Les populations de Kayar et les acteurs de la pêche continuent de s’opposer à l’usine de transformation de farine de poisson. Il est reproché à Touba Protéine Marine (ex-barna), de ne pas se conformer aux règles environnementales.
Cette usine (ex-Barna) à capitaux espagnols s’est établie dans une zone résidentielle selon le plan d’occupation des sols local, c’est-à -dire un lieu impropre aux activités industrielles. Elle est utilisée pour la production de farine et d’huile de poisson, qui ne seront pas destinées au Sénégal, mais seront exportées vers d’autres pays.
«L’installation doit disposer de mesures pour contrôler le bruit et les rejets, ainsi que pour surveiller la manipulation des liquides et des substances dangereuses. Les émissions polluantes et le respect des normes sanitaires doivent également être surveillés et un calendrier doit être établi pour le chargement et le déchargement des produits, en tenant compte du fait qu’il est situé dans une zone résidentielle», précisent les acteurs.
Pour cette raison, la détérioration de la qualité de vie des habitants de Kayar est énorme, à la fois en raison des mauvaises odeurs et des effets toxiques potentiels sur la santé et la nature, car elle est fortement polluée. Toujours avec l’impact négatif de l’installation de l’usine de farine de poisson, les populations de Kayar ne sont pas au bout de leur peine avec cette dernière, qui acheté en grande quantité les poisons des pêcheurs artisanaux. «Les populations de Kayar avaient déposé une plainte au niveau du Tribunal de grande instance de Thiès contre l’usine Barna Sénégal. Mais ils seront déboutés de leur demande», informe Maty Ndao, présidente des femmes transformatrice de poissons de Kayar.
D’autre part, il y a la présence des bateaux de pêches dans la grande côte sénégalaise sur la situation de la pêche artisanale. Avec leur forte capacité, ils puisent en grande quantité les poisons, ce qui affecte sévèrement la pêche artisanale, qui reste «le seul rempart» malgré les nombreuses difficultés. Face à cette situation, les pécheurs et transformatrices de Kayar continuent de souffrir. Les espèces, en grande quantité, sont introuvables, c’est le cas de l’espèce de poisson dénommé «sardinelle».
Bes Bi
Cette usine (ex-Barna) à capitaux espagnols s’est établie dans une zone résidentielle selon le plan d’occupation des sols local, c’est-à -dire un lieu impropre aux activités industrielles. Elle est utilisée pour la production de farine et d’huile de poisson, qui ne seront pas destinées au Sénégal, mais seront exportées vers d’autres pays.
«L’installation doit disposer de mesures pour contrôler le bruit et les rejets, ainsi que pour surveiller la manipulation des liquides et des substances dangereuses. Les émissions polluantes et le respect des normes sanitaires doivent également être surveillés et un calendrier doit être établi pour le chargement et le déchargement des produits, en tenant compte du fait qu’il est situé dans une zone résidentielle», précisent les acteurs.
Pour cette raison, la détérioration de la qualité de vie des habitants de Kayar est énorme, à la fois en raison des mauvaises odeurs et des effets toxiques potentiels sur la santé et la nature, car elle est fortement polluée. Toujours avec l’impact négatif de l’installation de l’usine de farine de poisson, les populations de Kayar ne sont pas au bout de leur peine avec cette dernière, qui acheté en grande quantité les poisons des pêcheurs artisanaux. «Les populations de Kayar avaient déposé une plainte au niveau du Tribunal de grande instance de Thiès contre l’usine Barna Sénégal. Mais ils seront déboutés de leur demande», informe Maty Ndao, présidente des femmes transformatrice de poissons de Kayar.
D’autre part, il y a la présence des bateaux de pêches dans la grande côte sénégalaise sur la situation de la pêche artisanale. Avec leur forte capacité, ils puisent en grande quantité les poisons, ce qui affecte sévèrement la pêche artisanale, qui reste «le seul rempart» malgré les nombreuses difficultés. Face à cette situation, les pécheurs et transformatrices de Kayar continuent de souffrir. Les espèces, en grande quantité, sont introuvables, c’est le cas de l’espèce de poisson dénommé «sardinelle».
Bes Bi