Le terrorisme et la mendicité sont les maux que ce gendarme à la retraite met en exergue dans son exposition qui va durer une dizaine de jours. Ce dernier dit être en phase avec la décision du Président Macky Sall de retirer les enfants de la rue, mais dénonce la manière dont elle a été appliquée. « J’ai l’impression que c’est une rafle comme on a fait pendant la dernière guerre mondiale avec des enfants », a-t-il regretté.
« Ce sont des victimes, ce ne sont pas des voyous, ils savent qu’ils sont recherchés », a ajouté M. Lambert selon qui ces enfants de la rue encourent un gros risque puisqu’une cellule de jihadisme peut profiter du fait qu’ils sont recherchés pour « aller prendre ces enfants et leur faire un lavage de cerveau et les utiliser comme des terroristes ». Il a saisi l’occasion pour sensibiliser sur le fait que terrorisme n’est pas islam. « Malheureusement, à cause de criminelles, cette couche religieuse est en train de souffrir », a-t-il dit.
Lambert est d’avis que, pour résoudre ce problème des enfants de la rue, « il faut mener un grand débat avec les maîtres corniques et les confréries religieuses, autour d’une table, pour discuter et arriver à un consensus ». Mais aussi, « essayer de faire des structures comme celle de Koki où les enfants vont apprendre le Coran tout en cultivant la terre. Et les meilleurs seront envoyés à l’université afin de leur donner une chance d’égalité pour qu’ils deviennent, un jour, chefs d’entreprises ou ministres ».
Pour ce qui est des associations et Ong qui se battent pour les droits des enfants, il doute de leur vrai rôle dans cette lutte. « Qu’est ce qu’ils font de concret pour stopper la mendicité ? », se demande-t-il. À l’en croire, « il ne suffit pas de faire des séminaires dans une station balnéaire pour sortir un document » précisant qu'il n'a « rien contre les Ong et les associations ». Aussi, est-il convaincu que si on rompt avec ces pratiques, « ce sera une première bataille de gagnée ».
Regardez les photos de son exposition ci-dessous.
« Ce sont des victimes, ce ne sont pas des voyous, ils savent qu’ils sont recherchés », a ajouté M. Lambert selon qui ces enfants de la rue encourent un gros risque puisqu’une cellule de jihadisme peut profiter du fait qu’ils sont recherchés pour « aller prendre ces enfants et leur faire un lavage de cerveau et les utiliser comme des terroristes ». Il a saisi l’occasion pour sensibiliser sur le fait que terrorisme n’est pas islam. « Malheureusement, à cause de criminelles, cette couche religieuse est en train de souffrir », a-t-il dit.
Lambert est d’avis que, pour résoudre ce problème des enfants de la rue, « il faut mener un grand débat avec les maîtres corniques et les confréries religieuses, autour d’une table, pour discuter et arriver à un consensus ». Mais aussi, « essayer de faire des structures comme celle de Koki où les enfants vont apprendre le Coran tout en cultivant la terre. Et les meilleurs seront envoyés à l’université afin de leur donner une chance d’égalité pour qu’ils deviennent, un jour, chefs d’entreprises ou ministres ».
Pour ce qui est des associations et Ong qui se battent pour les droits des enfants, il doute de leur vrai rôle dans cette lutte. « Qu’est ce qu’ils font de concret pour stopper la mendicité ? », se demande-t-il. À l’en croire, « il ne suffit pas de faire des séminaires dans une station balnéaire pour sortir un document » précisant qu'il n'a « rien contre les Ong et les associations ». Aussi, est-il convaincu que si on rompt avec ces pratiques, « ce sera une première bataille de gagnée ».
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